1. La cuisine


    Datte: 19/08/2019, Catégories: fh, couple, amour, volupté, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme fsodo, sm, attache, Humour Auteur: Jacques Soenen, Source: Revebebe

    ... la virulence du geste. Les poireaux au trois-quarts déchiquetés sont hors d’usage. Il reste à notre brosseur de ramasser les lambeaux du légumineux martinet et de les relaver avant de les mixer pour la soupe.
    
    — Nous voilà déchargés des tâches ménagères et il est l’heure, semble-t-il, de dompter les fauves. Ma lionne est-elle prête pour entrer sur la piste et entamer son divertissement ?
    — Elle n’attend qu’un geste de toi pour rugir et feuler.
    
    Ils se rendent au centre du salon-bibliothèque, sous un crochet d’attache, veuf de tout lustre ou de suspension électrique. Habilement, d’un geste sûr, il projette une longe de nylon lestée d’un gland en plomb qui se pend dès la première lancée.
    
    — Reste droite sur tes jambes.
    
    Pierre fixe des bracelets à ses poignets réunis dans le dos, et par un solide mousqueton, les accroche à la corde qu’il tire ; ses bras se soulèvent, l’obligeant à s’incliner. Le buste est à angle droit, le visage perdu sous ses cheveux, les seins pendants, malléables. Il boucle une sangle autour de ses coudes pour renforcer la contrainte ; il tend encore le cordage et en cale l’extrémité à une patère où traîne encore son vieil imper. La tension l’oblige à se tenir sur la pointe des pieds ; son équilibre est instable, elle se dandine sur place en de petits pas de rat de l’opéra.
    
    — Ton ossature se montre fluide et plastique et s’adapte à l’astreinte, constate-t-il en pianotant sur le clavier de sa colonne vertébrale en effort, où ses doigts ...
    ... enchaînent des notes fondues ou martelées selon la tension.
    
    Son fessier s’offre comme pour supplier une dégelée exemplaire.
    
    — On ne peut pas mieux offrir son cul. Tu resteras longtemps dans cette posture assez agréable au regard.
    — Salaud, t’es dégueulasse !
    
    Catherine a beaucoup de mal à tenir la contrainte. Ses bras la lancent, tout mouvement est douloureux, elle ne peut que tendre son arrogant pétard aux orifices étalés, devinant la grossièreté de son attitude.
    
    Ils discutent projets de vacances tandis qu’il lui lisse les flancs. Elle est d’accord pour passer quelque temps dans sa maison de campagne.
    
    — Ce sera très enlevé, même pervers.
    — Pas beaucoup plus que ce que tu me fais présentement, réplique-t-elle.
    
    Accroupi sous elle, il lui aspire les tétins mutins avant de les presser entre ses doigts pour les galvaniser.
    
    — Nous serons nombreux et tu seras jalouse que mon roseau trempe dans d’autres rivages.
    — D’autres queues ou des langues féminines expertes sauront me consoler.
    
    Vexé, il lui claque les fesses de sa queue durcie, avant de s’en prendre à ses joues sur lesquelles son braquemart tintinnabule comme le marteau d’une cloche. Elle gonfle ses joues qui résonnent du son étouffé d’une sonnaille. Il lui donne à sucer son nœud qu’elle lèche comme une glace à la fraise.
    
    — De toute façon, nous n’y ferons qu’un bref passage. Si tu veux, de là, on partira quelques jours à Naples.
    
    Elle acquiesce, mais s’inquiète de sa queue en érection cantonnée sur son ...