1. Samia - 37 Le monde du tavail.


    Datte: 19/08/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Partouze / Groupe Inceste / Tabou Auteur: mia-michael, Source: xHamster

    ... Ah oui, bienvenue Madame. Je ne connais qu’une Manu et elle est mécanicienne.
    
    — C’est possible...
    
    — Prenez cette petite porte au fond, elle doit être là.
    
    Je le remercie et j’y vais. J’arrive dans une grande pièce. Il y a beaucoup moins de bruit. Plusieurs ouvriers en salopettes discutent autour d’un moteur ou un truc du genre. Je leur dis :
    
    — Bonjour Messieurs, je voudrais parler au chef d’atelier.
    
    Un gros homme me répond :
    
    — C’est moi.
    
    — Enchantée, Monsieur. Je suis Samia de Préville et je cherche Manu.
    
    Classe, non ? Il est surpris que je lui tende la main et il me tend sa manche en disant :
    
    — Excusez-moi Madame, j’ai du cambouis sur les mains.
    
    — Pas de problèmes. Vous pourriez me dire où est Manu ?
    
    — Vous ressortez et vous prenez le couloir à droite. Elle doit être dans le troisième local. Vous voulez que je vous accompagne ?
    
    — Non merci, ça ira... Bonne journée Messieurs.
    
    Je sors de la pièce et je sens presque leurs regards traverser le tissu de ma jupe légère. Je suis bien habillée : chemisier rouge, jupe noire un peu collante, escarpins, lingerie La Perla.
    
    Je vais où il dit, je toque et j’entre. Debout devant un établi, une femme lime une pièce. C’est Manu. Elle est en salopette, sans rien dessous. Ce qui est très sexy, parce que dès qu’elle bouge les bras, on aperçoit les pointes roses de ses seins et les poils noirs de ses aisselles. Elle est jolie, mais très peuple. C'est aussi une coriace, j’en sais quelque chose. M’ayant ...
    ... bien sûr reconnue, elle me dit :
    
    — Madame de Préville, quel honneur !
    
    Vis-à-vis des autres, ça me ferait plaisir qu’elle m’appelle comme ça, mais je sais que c’est aussi pour se foutre de moi.
    
    Comme on est seules, je l’embrasse sur la bouche.
    
    Elle me demande :
    
    — Tu me cherchais pour me lécher la chatte ?
    
    — Euh... oui, je te verrais volontiers en dehors de l’usine, mais je voudrais te demander un petit service. Tu veux bien m’accompagner... enfin, me présenter au délégué syndical ?
    
    — Max Desallié ?
    
    — Oui, c’est ça...
    
    — Lui tourne pas le dos.
    
    — Tu rigoles ?
    
    — Mais, oui. Enfin, tu verras... Viens, il doit être chez les ouvrières, il y a toujours une machine en panne.
    
    On repart dans l’usine. Je lui parle un peu de mon voyage de noces au Maroc. Enfin, je censure quand même. On arrive dans un très grand atelier. Il y a des rangées d’ouvrières debout devant des machines, avec des courroies, des bobines de fil, des pédales, Manu demande où est Max à une des filles. Elles discutent un peu. On finit par le trouver devant une de ces machines, occupé à dévisser une plaque. C’est un grand type, costaud mais mince. Il a un visage allongé et des yeux noirs qui me détaillent des pieds à la tête. Je n’ai pas le temps de me présenter, qu’il dit à Manu :
    
    — Qu’est que tu m’amènes de beau, Manu ? Un cadeau du patron pour qu’on ne fasse pas la grève ?
    
    Elle rigole et répond
    
    — En quelque sorte, oui.... Bon, je vous laisse, j’ai du boulot.
    
    Je lui tends la ...