1. Samia - 37 Le monde du tavail.


    Datte: 19/08/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Partouze / Groupe Inceste / Tabou Auteur: mia-michael, Source: xHamster

    ... très important. Sans un bon dialogue avec les syndicats, l’usine peut fermer... Tu pourrais être responsable des relations avec eux. La rémunération est importante. C’est un travail qui ne t’occupera que le matin. L’après-midi, tu seras libre. Sauf deux ou trois fois par semaine où tu devras t’occuper de gérer l’emploi du temps des clients importants : leur faire visiter l’usine, retenir des places dans un bon restaurant et dans un music-hall ou une boîte de nuit. Tu feras équipe avec Suzy, une fille de la publicité. Je viendrai parfois avec vous, pour les clients vraiment importants. Qu’est-ce que tu en penses ?
    
    — Ça me botte.
    
    À son tour de faire la grimace, tandis qu’il me dit :
    
    — Évite ce genre d’expression. Et puis, à l’usine comme devant les clients, c’est mieux que tu dises Monsieur.
    
    — Et en dehors de l’usine... "Monsieur" ?
    
    — Tu peux m’appeler par mon prénom quand on est seuls ou en famille.
    
    — Oh, 1000 mercis, "Monsieur".
    
    — Arrête de faire la conne, Samia !
    
    Voilà, lui, il peut dire « conne » et moi je ne dois pas dire « ça me botte » quel enfoiré ! Il dit à Julien :
    
    — Va voir Lisa et établis un plan de travail avec elle.
    
    Puis, à moi :
    
    — Et toi, va te présenter au délégué syndical.
    
    — Oui... "Monsieur". Il s’appelle comment et il est où ?
    
    — Maxime Desallié et renseigne-toi pour savoir où il est.
    
    Toujours aussi sympa, beau papa. Ah ! non "Monsieur", pardon. Il ajoute :
    
    — Ce n’est pas un enfant de chœur ! Crée des liens mais ...
    ... fais-toi respecter. Tu fais partie des cadres.
    
    Il appelle sa secrétaire par interphone pour lui dire :
    
    — Gisèle, conduisez mon fils et ma belle fille à leurs bureaux.
    
    On suit Gisèle qui est une belle blonde avec un gros cul. Elle me montre mon lieu de travail. C’est simple, mais pas mal du tout... Un bureau, un fauteuil pour moi, deux chaises pour les visiteurs. Il y a une fenêtre, je vois même un peu de verdure et sur un mur, il y a une photo panoramique des usines.
    
    La secrétaire va montrer son bureau à Julien. Après ce que son père lui a dit, je crois que ça va être un placard à balais !
    
    À moi les syndicalistes. Je ne me fais pas trop d’illusions, je vais être entre le marteau et l’enclume, mais je compte sur mon charme et mes formes pour les mettre dans ma poche. D’abord, je vais aller voir Manu... Vous vous souvenez de mon enterrement de vie de jeune fille ? On a été proches, toutes les deux. Elle s’est même assise sur mon visage, ce qui crée des liens. C’est une fille vraiment rock 'n roll.
    
    En fait, je ne connais qu’une ou deux personnes dans cette usine, mais dans les bureaux, les cancans vont vite, tout le monde a l’air de me connaître.
    
    Je descends et j’entre dans un atelier... Des rangs d’ouvrières sont devant d’énormes bobines de fil... Il y a beaucoup de bruit. Un homme vient vers moi et me dit :
    
    — Je peux vous aider ?
    
    — Euh... oui, je cherche Manu, je pense qu’elle travaille ici.
    
    — Et vous êtes ?
    
    — La femme de Julien de Préville.
    
    — ...