Schizo... sur demande
Datte: 19/08/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
médical,
bizarre,
contrainte,
pénétratio,
exercice,
Humour
Auteur: Wolf Rival, Source: Revebebe
... soudain contrarié, presque malheureux, et puis elle me fit un signe de la main, fit mine de chuchoter pour que personne ne nous entende.
— Vous saviez que cette guerre était une mauvaise blague ? Il ne s’est rien passé en réalité, et ils ont envoyé les soldats en vacances aux frais de l’État !
— Et le pire… continua-t-elle, avec un sourire moqueur, c’est qu’on raconte que certains soldats… (Elle haussa plusieurs fois les sourcils) vous voyez ce que je veux dire ? Hum… hum…
— Menteuse ! hurlai-je, en me levant brusquement de ma chaise.
Elle prit son stylo et me fit signe de me rasseoir. J’étais essoufflé et mon crâne semblait vide pour la première fois depuis des années.
— Matthieu ?
— Ou… ou… oui, dis-je, soulagé.
— Vous ne pouvez pas vous cacher en permanence.
— Je… je… je… s… S…
— Comment sont nés ces personnages ? demanda-t-elle, en me tendant son stylo et en poussant son bloc-notes vers moi.
Je gribouillai rapidement qu’il m’avait suffi d’une indication, ou qu’on me dise comment je devais me comporter. Je la remerciai également : jamais je ne m’étais senti aussi libre.
— Il a suffi qu’on vous le dise ? dit-elle, avec un regard compatissant.
Je hochai la tête nerveusement en guise de réponse.
— Mais quel genre d’indications a pu vous pousser jusqu’à ce point ?
J’expliquai tout d’abord l’exemple de SuperMatt. Mon psy m’avait expliqué comment me comporter : Superman, Clark Kent, et en à peine un quart d’heure, le tour était joué. Je citai aussi ...
... les autres exemples qui avaient pris instantanément sur un simple mot, un simple conseil ou reproche.
— Vraiment ? fit-elle, surprise.
Je hochai une nouvelle fois la tête, fronçai les sourcils en la voyant sourire. Je tentai de lui demander par écrit ce qu’elle trouvait drôle, mais elle posa sa main sur la mienne pour m’en empêcher.
— Comment ça se passe avec les femmes ?
Sa main, plus que la question, me gênait, je ne répondis pas.
— Ça ne doit pas être facile pour vous… avec tout ce monde.
Elle m’adressa un sourire.
— Et si… je vous disais… je ne sais pas… commença-t-elle.
Elle hésitait, triturait ma main.
— Si je vous disais… de vous comporter comme un acteur de films un peu coquins… vous voyez ce que je veux dire… si je vous ordonnais de bander et de me prendre sur mon bureau, par exemple ?
Ma tête faisait non, je me dégageai de sa main, mais déjà SodoMattor s’emparait de moi, mon sexe enflait comme jamais, bientôt à l’étroit. Je me levai, décidé.
— À poil ! lui dis-je d’un ton ferme, alors que mes mains autonomes déboutonnaient déjà les premiers boutons de mon jean.
Dans ma tête vide, résonna une nouvelle voix :
Elle fit le tour de son bureau, paraissait satisfaite. En se penchant devant moi, elle me tendit un préservatif que j’attrapai avec les dents. Puis elle releva sa jupe tailleur, découvrant un string rouge vif bien serré sur ses hanches trop généreuses. Je l’arrachai, sortis mon pénis et l’enveloppai avec des doigts experts ...