1. Déplacement au chaud


    Datte: 19/08/2019, Catégories: extracon, fh, hotel, Auteur: An pire, Source: Revebebe

    ... scène : un plan cul qui se termine en queue de poisson, c’est le comble de l’aquariophile ! Je me pose sur le dos en pleine réflexion pour ne pas sortir un commentaire qui ferait fuir la belle d’un soir.
    
    Mon attente et mon exceptionnel silence sont récompensés quand elle m’enjambe et attrape ma queue pour la guider entre ses lèvres, tout doucement. Ensuite, c’est une mise sur orbite comme je n’en ai pas encore connue : elle balance son bassin d’avant en arrière et fait tourner son vagin autour de ma hampe, elle fait avancer son vagin pour que mon gland vienne se poser sur la partie réticulée en intérieur du clitoris ; je suis obligé de lui tenir les hanches pour modérer la puissance de ses assauts sinon je vais me répandre en elle : seule prouesse à éviter ce soir. Elle jouit plusieurs fois et s’arrête de bouger, mais la pression devient trop grande et je sors de son étui de plaisir.
    
    Une douche sera du meilleur effet pour une suite éventuelle. Je reviens me coucher. Il faut avouer que nous sommes épuisés comme nous manquons d’entraînement à forniquer, à niquer tout simplement par ce climat tropical. Mon érection est retombée avec la fraîcheur relative de la douche. Nous somnolons une vingtaine de minutes, elle est dans mes bras.
    
    Le lit une place entraîne un éveil dès le moindre mouvement. Mon érection est revenue et Andréa revient s’empaler sur ma bite, pour notre plus grand plaisir ; elle crie très rapidement son bonheur et se sent comblée. Je dois toujours ...
    ... veiller à ne pas éjaculer en elle, alternant les positions et les angles de pénétration, les points internes caressés par mon gland. Je tiens longtemps avant de sentir monter un plaisir de débordement difficilement contrôlable. Je m’extrais de son antre accueillant et retourne me doucher, étant de nouveau en nage. De nouveau le sommeil nous terrasse ; il est quatre heures du matin.
    
    Ses boucles blondes me couvrent le visage au hasard de nos mouvements lors de notre sommeil. Ayant les cheveux courts, cette impression me réveille instantanément ; une nouvelle fois je bande comme si je devais sauver l’humanité de son déclin. Elle dort, et j’évite de la réveiller. Cependant, j’ai envie de la caresser. Sa toison bouclée couvre mon pénis ; je ne peux pas ignorer l’humidité de son sexe. Un léger mouvement de bassin sous elle et je la pénètre de nouveau : elle explose dans une jouissance comme je n’en avais jamais vue. Dès son réveil, elle s’active à des mouvements désordonnés : elle crie des mots que je ne pourrais pas écrire mais dont le sens restera universel. Ses cuisses canalisent une fontaine d’amour qui jamais ne se tarit. Aucune de mes partenaires précédentes, ni même ma femme, ne m’avaient gratifié d’une telle extase ; je suis aux anges. Donner tant de joie, de bonheur, de plaisir est jouissif, et je sais que cette fois je ne pourrai pas me retenir davantage : je retourne ma partenaire de cette nuit de folie et viens me libérer sur son ventre. Elle resserre ses seins comme pour ...
«1...3456»