1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (22) : le candaulisme jusqu’au bout


    Datte: 18/08/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... plus, vas-y, mets-la moi plus profond, plus vite, démonte-moi.
    
    • Regarde Philippe, ses yeux sont révulsés, son visage est déformé par le plaisir. Tu aimes ?
    
    • J’adore ! Finis-la, tu vas la tuer, vide toi en elle, engrosse la !
    
    Philippe dirige sa queue vers moi et m’envoie de belles giclées sur le visage et les seins, alors que Rachid se vide dans ma chatte. Ses giclées sont puissantes et interminables.
    
    • C’est bon ! C’est bon ! C’est bon ! Je te sens gicler ! Encore ! Encore ! Encoreeeeee !
    
    Tout le poids de Rachid pesait sur moi. Des coulées brûlantes suintèrent de ma vulve. Dès ce moment-là, j’étais convaincue que cette première tentative serait la bonne et que l’un des spermatozoïdes de Rachid m’aurait fécondée. J’en aurais confirmation un peu plus tard, par l’usage de tests de grossesse.
    
    Nous étions tous les trois brisés par la séance torride que nous venions de vivre. Je me suis affalée sur le grand lit conjugal, où je venais d’aller au bout de l’adultère et du candaulisme.
    
    J’étais entre mes deux hommes, chacun avait sa tête sur mon épaule. Après l’érotisme torride, ce fut un moment de tendresse, surtout avec Philippe. Je les embrassais à tour de rôle :
    
    • Merci Rachid, jamais tu ne m’avais donné autant de plaisir. Je suis certaine que nous y sommes arrivés à la première tentative.
    
    • Tu es quand même la plus grande des salopes que je n’ai jamais rencontrées. Dès que j’ai repris des forces, on remet le couvert. Je serai sur les rotules à la fin ...
    ... de ces journées, mais t’inquiètes, tu seras en cloques, petite pute !
    
    • Je compte bien ne pas te laisser un instant de répit. Je suis insatiable avec toi.
    
    • Salope, tu veux me tuer. Dès qu’on aura confirmation, je pourrai te ramener à la cité et ailleurs, une chienne comme toi a besoin d’être saillie. Je veux te faire faire de l’abattage.
    
    • Je suis d’accord et mon mari aussi. Il adore voir sa chérie se comporter comme une chienne.
    
    Je me suis alors blottie dans les bras de Philippe.
    
    • Tu sais que je t’aime, Philippe T. Je ne compte plus les mâles qui t’ont fait cocu, mais personne ne me séparera jamais de toi. Tu m’as prouvé aujourd’hui l’étendue de ton amour.
    
    Je me suis remise sur le dos et j’ai commencé à masturber les deux hommes. Ils reprenaient vigueur. Ils ont d’abord commencé à s’occuper de mes seins, sachant que c’était le meilleur moyen de m’exciter. Puis Philippe a soigneusement nettoyé ma chatte béante, encore pleine de mes sécrétions et du sperme de mon mâle. J’ai ainsi à nouveau joui grâce à ce cunnilingus. Sans me laisser de répit, Rachid a recommencé le coit. Ce soir-là, il m’a honorée plusieurs fois, ne se vidant, comme convenu, que dans ma chatte. Philippe était toujours près de moi, me disant des mots d’amour, me caressant, me couvrant de baisers. Je lui ai vidé aussi les couilles, soit en le masturbant, soit en le suçant à fond.
    
    Je lui aussi offert le plaisir d’une double pénétration. Il m’a dit avoir senti, à travers ma paroi, la grosse ...
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