1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (22) : le candaulisme jusqu’au bout


    Datte: 18/08/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Olga T, Source: Hds

    Avertissement : ce récit peut choquer, sur le plan de la morale. Il est en fait le symbole de l’amour sans limites que me porte Philippe, au-delà de l’accomplissement de ses fantasmes candaulistes.
    
    Depuis notre rencontre et, en particulier, la première fois où il m’avait possédée en présence de mon mari Philippe, Rachid avait dit que, le moment venu, il voulait me féconder.
    
    Pendant les premières semaines de notre trio candauliste, Rachid m’avait peu à peu transformée en «salope intégrale» et j’avais accepté toutes les épreuves d’initiation qu’il avait imposée, sans rechigner. Au contraire, j’assumais pleinement mon hypersexualité qui n’avait plus de limites, de même que Philippe poussait au plus loin son candaulisme. De même, Philippe avait assumé, avec Rachid, sa bisexualité qu’il avait longtemps refoulée. Et je prenais le plus grand plaisir à voir mon époux chéri jouir sous les assauts de celui qui était devenu notre mâle à tous les deux.
    
    La seule ombre au tableau était la menace que faisait peser Marie C sur notre ménage à trois. Elle avait beaucoup d’influence sur Rachid et était bien décidée à me séparer de Philippe qu’elle convoitait.
    
    Au moment où se passe ce que je vais raconter, je suis toujours amoureuse de Rachid. J’ai pensé qu’accomplir ce qu’il avait annoncé serait un moyen de consolider notre trio autour d’une famille.
    
    J’en ai d’abord parlé à Rachid.
    
    • Rachid, mon chéri, Philippe, en insistant pour que j’assume mon hypersexualité et en te ...
    ... mettant sur mon chemin, avait raison. Et toi tu m’as rendu heureuse en me faisant découvrir des plaisirs que je n’imaginais pas.
    
    • J’avais deviné ton potentiel et ce n’est pas fini. Je sais que tu en veux toujours plus et, crois-moi, tu n’as pas fini de te faire baiser par tous ceux à qui je vais t’offrir. Tu rends particulièrement heureux mes potes de la cité, ils n’ont jamais connu une salope comme toi.
    
    • Je suis heureuse que tu sois fière de moi et je ferai toujours ce que tu veux. Philippe est mon mari, je l’aime, mais toi tu es mon homme. Mais Rachid, je voudrai plus. Je voudrai que tu me fasses un enfant, tu l’avais promis.
    
    • Oui, ce sera la preuve que tu es à moi totalement, que tu es ma femelle. Mais je te préviens, il n’est pas question pour moi de divorce et de paternité. C’est Philippe qui devra assumer. Ca dépend donc de lui.
    
    Aveuglée par mes sens, je ne réalisais pas le cynisme monstrueux de Rachid, malgré son jeune âge. Ce qu’il m’annonçait là, il l’avait déjà fait avec son ancienne professeure de Français, Sylviane (voir récit numéro 9), avec laquelle il avait déjà refusé d’assumer sa paternité. Rachid était un fauve, un prédateur et n’avait aucun sentiment, seulement celui de la prétendue revanche sociale du jeune caïd de cité qui pensait régler ses comptes à travers un couple de «bourges».
    
    Ainsi Rachid renvoyait la décision à Philippe. J’en ai donc parlé à mon mari. Ce jour-là plus que jamais, j’ai pu mesurer la force de son amour.
    
    Après de ...
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