1. Émois de métro


    Datte: 18/08/2019, Catégories: hbi, hh, hplusag, jeunes, inconnu, train, hsoumis, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral hsodo, init, confession, Auteur: Surat le magnifique, Source: Revebebe

    ... habitué… Il avait tout prévu. Et alors que le wagon se vide un peu et que nous sommes moins les uns contre les autres, il sort un journal dont il se sert comme paravent. En effet, ma queue sortie, dans ce wagon bondé, semble bien protégée des regards, jusqu’au moment où… Je remarque dans le reflet de la glace que nous sommes entièrement à découvert. Sa main allant et venant sur ma queue se distingue très facilement dans le reflet de la vitre. Une femme assise à côté a dû jouir du spectacle… Elle ne s’en est pas émue, et si effectivement elle a observé la scène, elle a dû rapidement détourner le regard, feignent l’indifférence.
    
    Je suis toujours très excité et j’ai le sexe très humide. Je suis en train de me dire que cette situation est juste hallucinante, je suis en train de me faire branler par un parfait inconnu à l’insu de dizaines de personnes. Et je me laisse faire ! Pourquoi ? En temps normal, j’aurais repoussé ce type d’attouchements, mais bon finalement, pourquoi pas… L’excitation est parfois plus forte que la peur ou que la honte.
    
    Le wagon se vide soudain et une grande partie des voyageurs descend. La recréation est finie, nous ne pouvons dignement rester collés l’un à l’autre sans attirer l’attention. Profitant de l’agitation produite lors de la descente des voyageurs, je rentre mon sexe encore bien raide rapidement et me reboutonne discrètement. Je m’éloigne de lui comme tout voyageur disposant d’un peu plus d’espace pour lui l’aurait fait. Nous ne nous sommes ...
    ... pas adressé la parole et nous continuons d’apparaître aux yeux de tous comme deux parfaits inconnus.
    
    L’excitation s’étant quelque peu dissipée, j’espère qu’il va quitter le wagon avant moi. Je descends au terminus. Mais au fur et à mesure que les stations défilent, je comprends qu’il ne souhaite pas en rester là. Effectivement, au terminus, je quitte la rame et je sais qu’il me suit. Je sors de la station, je marche dans la rue, il est derrière moi c’est certain. Profitant du fait que je me retrouve quasi seul, il vient à ma hauteur pour faire ma connaissance. Je suis pétrifié à l’idée de lui parler.
    
    Il entame la conversation, il me demande mon prénom, me demande aussi si j’ai aimé ça. Comment aurais-je pu répondre par la négative ? J’ai donné un faux prénom, car le vrai moi ne devait sans doute pas assumer tout cela. Nous marchons dans les rues et les bus étant également en grève, j’ai assez long à marcher. À ce moment, je n’ai qu’une seule envie, qu’il parte, qu’il disparaisse même si, à aucun moment je n’ose lui dire.
    
    Dans le métro j’avais un rapport avec « une main » qui me faisait du bien et ça suffisait à mon excitation. Je me trouve à présent avec un homme.
    
    Il continue parfois de me toucher furtivement tout en marchant dès que nous nous retrouvons seuls dans la rue. Il me demande si je connais un coin tranquille.
    
    Je rentre chez mes parents et je n’ai qu’une seule idée en tête, me débarrasser de lui avant d’arriver chez moi. Aussi, rapidement, je pense à ...