1. Émois de métro


    Datte: 18/08/2019, Catégories: hbi, hh, hplusag, jeunes, inconnu, train, hsoumis, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral hsodo, init, confession, Auteur: Surat le magnifique, Source: Revebebe

    Le métro était bondé. Encore cette putain de grève qui nous force à voyager serré les uns contre les autres. Quel terrain de jeu idéal pour certains prédateurs des rames…
    
    Une main vient se coller contre mon sexe laissant la place à une certaine ambiguïté
    
    Promiscuité, manque de place, nous sommes les uns sur les autres dans cette rame.
    
    Je lève les yeux, il n’y a plus de place à l’ambiguïté. Je découvre le visage de celui qui me « colle ».
    
    Je suis fatigué, je rentre chez moi, il n’est pas loin de 21 h, mon visage n’a pas su exprimer une émotion en particulier. Sans net refus de ma part et sans repousser sa main en tentant de changer de position, l’homme prend sans doute cela pour un acquiescement de ma part. Il bouge légèrement sa main ayant pour effet de me provoquer des caresses répétées.
    
    Je sens mon sexe se durcir et c’est même très agréable. Je n’ai pas vingt ans et, à cet âge, on a le sang qui irrigue très vite. De simples petits mouvements se transforment en va-et-vient répétés, de plus en plus appuyés. Il m’arrive même de sentir mon sexe pris entre ses deux doigts à travers mon jean. J’en ai mal au ventre, tellement mon érection est forte… Nos regards se croisent parfois. Je sens une excitation discrète de sa part, j’essaie de rester impassible. Je n’ai aucune attirance pour cet homme de la quarantaine, tout à fait quelconque et sans charme. De toute façon, je n’ai jamais connu aucun désir pour un homme.
    
    L’homme ne va pas se contenter de ça. Les ...
    ... stations défilent. Il entreprend à présent de déboutonner mon pantalon. Je lève les yeux vers lui l’air inquiet, mais sans doute toujours aussi excité. Il ne souhaitera percevoir sans doute que mon air excité, même si discrètement il me fait comprendre que tout va bien se passer…
    
    Un bouton, deux boutons, trois, quatre… Je sens sa main fouiller dans mon pantalon. Il caresse à présent ma queue toujours aussi raide à travers mon simple caleçon. Il descend aussi pour me caresser le haut des cuisses à même la peau… Je sens une main rugueuse et calleuse, sa peau contre la mienne pour la première fois. Puis il trouve assez rapidement le bouton de mon caleçon. Il en vient à bout également assez rapidement. Ça y est, le prédateur a ma queue dans sa main. La proie que je suis se sent honteuse, mais toujours excitée. Je reste à sa merci…
    
    Il me caresse toujours assez discrètement. Je regarde autour de nous, personne n’a l’air de faire attention à nous. On reste de toute manière tous collés les uns aux autres.
    
    Il continue ses caresses avec ma queue dans sa main. Les soubresauts générés pas le métro qui file à vive allure, ne sont que meilleurs et permettent des caresses plus appuyées dans la même discrétion. Profitant d’un des cahots du wagon sur les voies, il sort par surprise ma queue du pantalon afin de pouvoir la branler plus facilement. Je le regarde, à nouveau inquiet du risque encouru. La peur qu’on nous voie, l’excitation aussi que cela entraîne…
    
    Le prédateur semble être un ...
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