Elodie - Histoires de Sexe

Elodie

... cœur, tiens, je te la mets, j’y vais tout doux, bien jusqu’au fond, puis je ne bouge plus et tu me racontes.
— Oui mais… Bouge un petit peu, tout de même, que je te sente un peu mieux, là, c’est bien, pas plus, je continue… Alors je me suis déshabillée après l’avoir mise nue elle aussi…
— Mais oui, tu me l’as déjà dit, ça, et puis même, je m’en doute bien que vous êtes pas restées habillées toutes les deux, alors après ?
— Après ? Bouge un tout petit peu… Merci. Après je lui ai fait une petite minette, comme tu me fais, toi, sans ça j’aurais pas su quoi lui faire, tu comprends ?
— Comment, que veux-tu dire, tu n’avais jamais fait l’amour avec une autre femme ?
— Ben non, chéri, c’est ma première amante et c’est probablement la dernière… Tu voudrais pas bouger un peu ? Ah ! Oui ! Comme ça, c’est bon ! Hou, que c’est bon ! Oui ! oui ! oui ! Ah…

On a joui comme des dieux. J’attends quelques instants pour savoir s’il reste à l’écoute, ça me semble bon, donc je poursuis :

— De plus, il m’est venu une idée, tout à l’heure, quand nous étions au salon avec la petite. Tu sais, avant qu’elle n’arrive chez nous, le vendredi soir, tu te souviens comment nous fêtions la fin de semaine ?
— Ah oui, et comment que je m’en souviens, tu m’as donné l’impression de ne pas détester mon petit cunni d’apéritif, même si tu faisais semblant de me le reprocher…
— Oui, bien sûr, et je regrette que nous ayons dû abandonner, mais justement je voudrais te proposer de reprendre nos bonnes ...

... habitudes.
— Et comment veux-tu, avec la petite… Oh mais oh ! Je crois que je te vois venir… Non, écoute, je n’oserai jamais, à mon âge, elle va me considérer comme un vieux cochon.
— Ça, c’est mon affaire. Ne tente rien avant d’avoir mon feu vert. Nous en reparlerons, je te raconterai des choses que j’ai apprises, tu comprendras qu’il y a peut-être moyen de lui rendre un fier service.
— Bon. Je te laisse faire.

Lundi

Fred m’annonce après déjeuner qu’il lui faut partir en tournée de clientèle jusqu’à vendredi soir. Parfait, lui dis-je, ça ne pouvait pas mieux tomber pour me permettre d’éclaircir mes rapports avec Élodie.

Mardi

Fred est parti tôt, ce matin. Dans la soirée, je retrouve ma « petite bonne », appellation plaisante entre elle et moi, et nous nous embrassons avec effusion. Nous décidons le tutoiement généralisé et un partage des tâches ménagères de sorte à nous retrouver au lit le plus tôt possible et bien dormir ensuite. Le frigo comporte encore des restes qui ne demandent qu’un bref passage au micro-ondes, elle est donc chargée de la gestion de la cuisine, après avoir bossé sur ses cours. Pour ma part, je fais la poussière dans ma chambre et dans le salon. Madame Baptiste est venue ce matin, elle a fait la salle de bains, les toilettes du couloir – Il y en a aussi dans la salle de bains – et l’aspirateur partout.

C’est donc très vite que nous nous rendons ensemble dans la salle de bains pour nous démaquiller et nous préparer à la nuit. Nous ne ...