Ma voisine
Datte: 17/08/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
hbi,
jeunes,
frousses,
rousseurs,
voisins,
copains,
piscine,
photofilm,
Oral
préservati,
pénétratio,
double,
Auteur: Caval, Source: Revebebe
... minutes en dix minutes. En cours, même avec des modèles vivants nus, c’est de la technique, un peu comme le musicien qui fait des gammes.
Elle garda le silence quelques instants et continua d’une petite voix en me regardant droit dans les yeux :
— Souvent, nous représentons les sexes, non comme ils sont dans la réalité, mais comme ils sont dans les peintures classiques : des petits sexes gréco-romains. J’aimerais pour une fois, représenter réellement ce que je vois. Je t’en prie, laisse-toi aller, que ton sexe soit en pleine érection ne risque pas de me choquer. D’ailleurs, je vais m’approcher pour pouvoir le dessiner dans ses moindres détails… Pour une fois que je peux le faire sans attirer l’attention de mes camarades !
Elle vint à moins d’un mètre de moi et posa un regard franc sur ma tige qui n’en finissait pas de prendre du volume. Je la laissai ainsi dessiner ma verge en éprouvant un plaisir exhibitionniste. Je découvrais des choses sur moi-même. Cela me plaisait qu’elle regarde mon sexe en érection sous toutes ses coutures, qu’elle le dessine, l’observe avec une attention si soutenue que j’avais l’impression qu’elle le caressait. Oui, c’était ça : une caresse, une caresse des yeux, une caresse amplement jouissive.
Cependant, au bout de dix minutes, l’érection retomba peu à peu. Mon artiste reprit place à une distance plus respectable et continua à me dessiner.
— Viens voir ce que j’ai déjà fait, me demanda-t-elle après encore quelques poses.
Je ...
... m’approchai d’Alice, sans sentir le besoin ni la nécessité de me rhabiller ou de me couvrir. Elle me montra ses croquis. Certains représentaient mon corps en entier, d’autres mon visage uniquement ou encore une partie de mon anatomie. Parmi le lot se trouvaient trois dessins particulièrement travaillés et détaillés de ma verge en érection.
Alors qu’Alice me présentait ses dernières études, je sentis sa main se poser sur mon sexe qui n’en demandait pas tant et reprit immédiatement de la consistance. Je la laissai faire, ne désirant pas briser ce moment d’extase. Je voyais à nouveau ses deux beaux globes libres dans l’échancrure de sa robe. Elle dut lire dans mes pensées, car elle ôta sa robe en la passant par-dessus sa tête. Elle ne portait plus qu’un string de dentelle. Sa poitrine était ronde et ferme, sa taille fine et son corps bien proportionné. La peau de son corps était blanche comme le lait. Tout comme sa figure, sa peau était ornée de taches de rousseur, jusqu’aux seins et sur le ventre.
Je dirigeai mes mains vers ses deux beaux globes. Lorsque je les pris en main, elle frissonna mais me laissa faire. Je cajolai ces deux mamelons tantôt avec la bouche, tantôt avec les doigts. Je parcourus leur circonférence, lentement, me rapprochant par degrés de leurs pointes. Elle me regardait faire et lorsque je croisais son regard j’y lisais de la satisfaction, puis du plaisir. Enfin vint le moment où j’atteignis l’aréole et la tétine érigée que j’agaçai avec les lèvres et la ...