1. Ma voisine


    Datte: 17/08/2019, Catégories: fh, fhh, hbi, jeunes, frousses, rousseurs, voisins, copains, piscine, photofilm, Oral préservati, pénétratio, double, Auteur: Caval, Source: Revebebe

    ... rhabiller.
    — Non, non, surtout pas. Ton audace m’a surprise et je n’aurais pas osé te demander de te déshabiller, surtout si rapidement. Mais maintenant que tu es nu, je vais te dessiner tel quel, d’autant plus que…
    — D’autant plus que ?
    — Que tu as un physique qui… comment dire… est plaisant pour un artiste.
    
    Elle me fit prendre une première pose, puis une seconde quelques minutes plus tard. Contre toute attente, je ne ressentais aucune gêne à me trouver totalement nu devant elle qui me croquait. La pudeur n’existait pas dans cette relation entre l’artiste et son modèle. Lorsque j’avais vu le filmLa Belle Noiseuse, dans lequel Emmanuelle Béart posait nue, je n’avais pas ressenti d’émotion sexuelle pour cette très belle femme, tout juste de l’érotisme, car c’est la réalisation de l’œuvre d’art et le travail de l’artiste qui est mis en relief, plus que le sex-appeal de la femme.
    
    Dans la troisième pose qu’Alice me fit prendre, je me trouvai face à elle et lorsqu’elle se pencha pour chercher un crayon, je vis le haut de sa robe s’ouvrir, laissant apparaître la rondeur de sa poitrine : elle ne portait pas de soutien-gorge et ses seins étaient si fermes que je ne m’en étais pas aperçu jusqu’à cet instant. Cette vision fut comme une fulgurance et sans que je ne puisse rien faire, mon sexe commença à gonfler. Étant nu et face à elle, je n’avais aucun moyen de dissimuler l’excitation qui me gagnait.
    
    — Oh ! s’exclama-t-elle en rigolant. As-tu vu quelque chose d’intéressant ...
    ... ?
    — Je suis désolé, tentai-je de répondre, c’est la première fois que je pose nu et je n’ai pas la technique pour…
    — Ne t’inquiète pas, cela arrive même à des modèles qui ont l’habitude. C’est peu fréquent dans les cours de peinture, mais cela permet parfois de faire des croquis qui sortent de l’ordinaire.
    — Lorsque tu dessines des hommes ou des femmes, tu représentes leurs sexes aussi ?
    — En tant qu’élève, on n’est pas vraiment là pour dessiner des sexes ; si on prend des modèles humains nus, c’est plutôt pour travailler sur le galbe d’une cuisse, la rondeur d’une poitrine, le muscle saillant sous la peau. La représentation du sexe est souvent secondaire. C’est le mouvement du corps qui importe.
    — C’est David, je crois qui dessinait tous les personnages de ses œuvres nus avant de les peindre habillés, afin de bien saisir les mouvements naturels du corps.
    — C’est cela. Encore que chez lui, je comprends fort bien qu’il dessine le corps de Napoléon par exemple, mais pourquoi donc faire apparaître un sexe, qu’il n’a sans doute jamais vu et qui n’apporterait rien au tableau final. D’autant plus que la représentation des organes génitaux est toujours soignée et extrêmement réaliste.
    
    Après un temps, elle reprend :
    
    — Il est tout de même nécessaire d’étudier la représentation des sexes des modèles, surtout les hommes puisqu’il est externe. Mais cette représentation n’intervient souvent que lorsqu’on réalise une œuvre aboutie, rarement lorsqu’on enchaîne les poses de dix ...
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