L'examen
Datte: 17/08/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
vacances,
noculotte,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
portrait,
prememois,
inithf,
Auteur: Naipas, Source: Revebebe
... jouir, mon amour.
Lentement, je passai ma langue sur ses petites lèvres et je soufflai doucement sur la fente ouverte. Elle frémit. Je sentais sa bouche sucer mon dard déjà bien gonflé. Elle prenait mes couilles entre ses doigts et me les malaxait avec beaucoup de douceur. Je pris alors son clitoris entre les lèvres et me mis à le sucer avec avidité. Brigitte gémissait. Je mettais beaucoup de cœur à l’ouvrage.
Oui ! Suce-moi bien. Oh ! C’est divin, c’est doux, c’est bon. Encore ! Encore ! Plus vite ! Enfonce ta langue dans mon con ! Ouiiiii ! Ouiiii ! Ouiiiii ! Ça y est ! Je viens ! Je viens ! Oh ! Chériiiiii ! Chériiiii ! Oui ! Je Jouiiiiis… Aaaaaahhhhh !
J’explosai une nouvelle fois dans sa bouche. Nous glissâmes tous deux sur le côté, entièrement épuisés par cet orgasme puissant que nous venions de connaître.
Le lendemain matin nous trouva enlacés. Après une nuit d’amour si ardente, je me demandai si je serais capable de recommencer et de lui donner autant de plaisir. Pour l’instant, il me fallait penser aux maths. Brigitte s’éveilla, s’étira comme un chat puis me couvrit de son corps et se mit à m’embrasser partout. Mais il nous fallut bien abandonner la gaudriole pour retourner au travail.
La journée se passa dans le calme. Il nous fallait bien récupérer des folies de la nuit. Je me remis au travail pendant que Brigitte, tout en surveillant d’un coin de l’œil mes exploits géométriques, préparait une cuisine d’amoureux. Elle venait souvent me retrouver ...
... dans ma chambre, vêtue seulement d’un sari très court sous lequel elle ne portait rien. Elle se frottait contre moi, découvrait ses seins gonflés, me faisait sucer ses mamelons pour me mettre en appétit. En même temps, elle passait sa main sous mon slip de bain pour caresser ma pine qui ne demandait pas mieux que de bander.
Midi approchait. C’était l’heure de l’apéro. Elle apporta une petite mixture de sa fabrication qui me donna des fourmis dans la queue.
— Bois ça ! Tu vas être en forme. Viens maintenant. Abandonne les maths et occupe-toi de moi. Ma chatte est déjà en feu. Tu vas me baiser tout de suite. Je suis trempée de mouille car je me suis branlée toute seule en pensant à toi. Mais je ne me suis pas fait jouir, car c’est toi qui vas le faire avec ta grosse queue bien dure. Je la sens. Viens vite. Je ne peux plus attendre.
Elle s’étendit toute ouverte sur le lit et m’attira sur elle. Je me couchai. De sa main droite, elle prit ma bite et se l’introduit d’un coup dans sa migeole qui coulait comme une source. Elle ouvrit ses cuisses et les referma sur mes reins, me serrant au plus fort qu’elle pouvait.
— Vas-y, mon chéri. Baise-moi fort, donne tout ton jus de couilles à ma chatte. J’ai envie. Fais-toi aller vite. Oui, comme ça. Encore ! Encore ! Encore ! Plus vite ! Plus fort ! Va plus loin ! Tape ! Tape ! Je te sens bien. Tu es gros et fort ! Oh ! Comme tu me baises bien. Encore ! Fort ! Ça vient, je vais jouir ! N’arrête pas, Ça y est ! Je jouiiiiis ! Je ...