1. Les Travaux


    Datte: 15/08/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byjdrd, Source: Literotica

    ... compensé.
    
    Par la fissure, je vis l'homme diriger sa main vers la boutonnière. Il défit le bouton le plus haut, mais ne s'arrêta pas là, le deuxième et le troisième suivirent le même chemin. Marie avait maintenant la robe ouverte jusqu'au nombril, c'est alors que je m'aperçus qu'elle n'avait pas mis de soutien-gorge, comme cela lui arrive somme toute assez souvent l'été. Mais là c'était clairement indécent. Ses seins apparaissaient très distinctement, jusqu'à ses larges auréoles brunes et les tétons qui s'érigeaient au contact du tissus. Ma femme était toujours amorphe, comme étrangère à elle-même, inconsciente de son exposition indécente.
    
    - Voilà, vous êtes plus à l'aise maintenant ma petite dame, n'est-ce pas?
    
    - O...oui
    
    - Mais cette robe est encore trop chaude, il faut déboutonner le bas pour vous aérer, sinon vous risquez de faire un malaise. Voulez-vous que je le fasse?
    
    - ...
    
    - Qui ne dit mot consent! Je m'en voudrais que vous fassiez un malaise à cause de ma négligence.
    
    Joignant le geste à la parole, il défit deux boutons du bas ne laissant la robe tenir que par un seul, situé au niveau du nombril. Celle-ci s'ouvrit amplement, dévoilant la culotte blanche de ma chère et tendre.
    
    - A voilà ce qui vous met mal à l'aise, c'est cette culotte qui vous comprime trop. Vous devriez l'ôter
    
    - M...non
    
    - C'est un petit non ça, avec vos hanches pulpeuses, cette culotte est trop serrée. Enlevez la donc!
    
    - ...
    
    - Bon, vous êtes trop fatiguée pour le ...
    ... faire vous-même...Je vais vous aider
    
    Je pensais que tout de même Marie allait enfin se rebeller, et l'envoyer paître, mais elle resta droit comme un I quand il s'accroupit et saisit le morceau de tissus par chaque côté. Lentement il le fit descendre pour dévoiler l'intimité de mon épouse, son pubis rasé, ses lèvres douces, ses cuisses pleines. La culotte finit par terre, et l'homme souleva lui-même les jambes de ma femme pour l'ôter complètement.
    
    - Voilà qui est bien mieux! Vous allez enfin pouvoir respirer et reboire un verre de mon bon Porto avec mon équipe, pour fêter encore mon anniversaire!
    
    Il la saisit par le bras, et la fit se retourner et se diriger vers la table de chantier où les ouvriers s'étaient déjà attablés.
    
    - Madame avait un peu chaud, déclara le patron, alors je l'ai mise un peu à l'aise. Maintenant elle a soif, servez lui une bonne rasade!
    
    Les ouvriers regardèrent, les yeux écarquillés, le spectacle qui se présentait à eux. Une bourgeoise, un peu précieuse, avec une robe qui ne tenait que par un bouton, dévoilant pratiquement toute son anatomie, ses seins lourds et son sexe rasé, qui s'avançait vers eux d'un pas d'automate.
    
    Un verre remplit à ras bord lui fût immédiatement mis en main. Le patron, en lui saisissant la main, le lui fit boire cul sec, un peu de liquide débordant et s'écoulant sur son menton et entre ses seins.
    
    - Oh, comme je suis maladroit, attendez, je vais vous l'essuyer.
    
    De sa grosse paluche, il enleva le liquide sur le ...
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