1. Les Travaux


    Datte: 15/08/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byjdrd, Source: Literotica

    ... simple bruit augmenta mon excitation...Mais j'étais bien curieux de voir comment ils comptaient s'y prendre pour séduire ma femme. Ils ne la connaissaient vraiment pas et ils allaient se casser les dents dessus.
    
    Les hommes déchargèrent leur matériel comme d'habitude et commencèrent à travailler. Quelques minutes plus tard, Marie vint leur dire bonjour et leur demanda s'ils voulaient un café. En ce jour de Juin, elle portait une petite robe bleue, très sagement boutonnée sur le devant. J'ai remarqué que parfois, quand elle portait cette robe, elle déboutonnait un ou deux boutons au décolleté et aussi un bouton en bas. Mais ce jour, tous les boutons étaient fermement attachés. Le patron lui rétorqua que c'était aujourd'hui son anniversaire et qu'il avait amené une bouteille de Porto. Qu'il fallait à tous prix qu'elle trinque avec eux, parce que sinon, dans les coutumes portugaises, c'était considéré comme un affront.
    
    Ma femme, ne voulant surtout pas vexer le patron qui nous avait fait une si belle réduction, accepta et leur dit qu'elle allait chercher des verres. Le Patron lui répondit qu'il avait amené des petits verres en plastique et que ce n'était pas la peine de salir. Il ordonna à son fils de montrer le chantier à Marie pendant qu'il servait les verres. Il servit une grande rasade à chacun, en prenant bien soin de mettre le verre de ma femme à part. Il lui tendit en disant honneur aux dames. Puis ils trinquèrent tous à l'anniversaire du patron et, tout en ...
    ... disant cul sec, basculèrent leur verre. Ma femme qui déjà n'avait pas l'habitude de boire manqua s'étouffer mais fini tout de même son verre.
    
    Le patron lui dit qu'il allait finir de lui faire faire le tour du chantier pendant que ses ouvriers se remettaient à la tâche. Il commença par lui montrer ce qui avait déjà été fait, puis il s'attarda avec force détails sur ce qu'il restait à faire, avant de s'approcher, à ma grande crainte, de la fissure par laquelle je les observais. Si le patron me fit un clin d'œil, Marie ne sembla pas me voir. Il faut dire qu'elle avait une démarche un peu hésitante et un regard flou. Elle trébucha même et le patron la soutint, passant son énorme bras sous son aisselle :
    
    - Oh attention ma petite dame, vous avez failli tomber
    
    - Mmm
    
    - Vous allez bien?
    
    - O...oui
    
    - Faut dire qu'il fait sacrément chaud, vous devriez déboutonner un peu cette robe
    
    - Mmm
    
    Ma femme avait l'air vraiment dans les vaps, ne répondant que par onomatopées. Le patron avait toujours son bras passé sous celui de Marie, son énorme paluche posée sur son ventre.
    
    - Je vais vous mettre à l'aise. Je vais défaire un bouton de votre robe. Vous êtes d'accord?
    
    - O...oui
    
    Je n'en revenais pas, Marie venait d'accepter que ce type qu'elle trouve certainement dégoutant lui défasse lui-même un bouton de sa robe. Il faut dire qu'accepter est un bien grand mot. Elle était dans un état second, ayant toujours du mal à rester debout sur ses chaussures d'été à talon ...
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