En tout bien tout honneur
Datte: 14/08/2019,
Catégories:
fh,
couplus,
extraoffre,
caférestau,
lettre,
couple+h,
Auteur: Calin 13, Source: Revebebe
... les mains sous sa jupe et, accrochant son slip, le tire le long de ses cuisses et de ses jambes. Il plonge la tête vers le bas de son ventre, découvre un sexe parfaitement nu et lisse, épilé de frais. D’une bouche gourmande, il avance vers les lèvres et plonge sa langue, bien profondément d’abord, puis revenant en surface vers le clitoris qu’il se met en demeure de lécher, l’agaçant, tournant autour, toute son attention tendue vers des gémissements qui commencent à parvenir à son oreille.
Les mains posées sur sa nuque, Christine le guide dans son rythme, les cuisses largement écartées, elle offre son sexe, son intimité la plus totale. Devant ces encouragements, Bernard insinue d’abord un, puis deux doigts entre les grandes lèvres, d’abord timidement, il avance imperceptiblement vers l’intérieur relativement serré, puis de plus en plus profondément, variant la vitesse de son va-et-vient, puis franchement, au plus loin que la longueur de ses doigts lui permet. Sous l’effet conjugué de la langue et de la pénétration, Christine s’arque, se cambre, sa respiration se fait de plus en plus aiguë, de moins en moins maîtrisée, après un long râle d’extase, elle se relâche et semble retomber inerte et sans force sur le canapé.
Bernard lève la tête, regarde Christine avec un sourire satisfait, remonte sur le canapé et l’attire contre lui, quasiment nue, le feu aux joues, et la prend dans ses bras. Curieusement, devant la mine resplendissante de sa maîtresse, il a la même fausse ...
... interrogation que Roger dans ces moments-là :
— Tu as aimé ?
Bien sûr qu’elle a aimé, ses yeux brillants en témoignent, son sourire indéfinissable comme si elle redescendait de là-haut, très haut…
Un soupir gourmand répond à sa question, prolongé d’un rire bouche fermée plein de contentement.
— J’ai envie de toi, lui soupire Bernard dans le creux de son cou…
Christine glisse sa main vers le sexe de Bernard, toujours aussi raide, le prend fermement, les mâchoires serrées, elle le branle lentement, fermement, longuement, colle sa bouche à la bouche de son amant et le plaque contre son visage de sa main libre…
Sans quitter sa bouche où leurs langues font un ballet bruyant et rageur, Christine chevauche Bernard et se met à califourchon contre son ventre et guide son membre dans son sexe, lui fait doucement franchir l’entrée de son vagin et le fait pénétrer longuement. Elle le sent avancer dans son ventre, l’envahir complètement, s’enfoncer au plus profond de son ventre. Son cavalier l’attrape par les hanches et la pilonne, cherchant toujours à aller plus loin en elle, plus fort. Ses seins se balancent devant son visage, il plaque le frêle corps contre lui, saisit tour à tour ses tétons pour les mordre, les téter, les sucer, ses mains descendent alors vers les fesses tendres, il les palpe à pleines mains, cherchant à atteindre la petite entrée secrète nichée dans le sillon. Doucement il y pose son index, appuie lentement puis plus fortement. Christine est serrée ...