1. Les aventures de Françoise (3)


    Datte: 14/08/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... pour vous. D'accord, on n'est plus toutes jeunes mais on a de l'expérience et on sait ce que les hommes aiment en faisant l'amour. On va tous aller dans notre chambre. Dites oui.
    
    Un peu estomaqués, les deux Canadiens éclatèrent de rire et dirent avec leur accent :
    
    - Ok les filles mais je vous préviens, on n'a pas de capotes.
    
    - Pas grave, il y a bien un distributeur quelque part. Tiens, je vois une pharmacie là-bas.
    
    Et une fois (largement) approvisionnés, le quatuor mit le cap sur l'hôtel des deux femmes qui, fort heureusement, ne firent aucune rencontre compromettante sur le chemin de leur chambre.
    
    *******
    
    Dans la chambre à deux lits, tout se passa très vite. Si Maryse était un peu empruntée car c'était la première fois qu'elle se trouvait dans cette situation, à savoir tromper son mari, qui plus est en compagnie directe d'une collègue alors qu'elle était habituée à l'intimité dans l'acte sexuel, Françoise, instruite par de récentes expériences, prit d'emblée les choses en main. Elle s'empara du chevelu, laissant Dan le râblé à Maryse parce qu'elle avait bien remarqué qu'ils en pinçaient l'un pour l'autre, lui pour ses seins, elle pour son sauveur. Françoise déboutonna le jean de Charles et en sortit une trique qui la ravit :
    
    - Eh ben dis donc, je vois que je te fais de l'effet, c'est rassurant.
    
    De son côté, Maryse se laissait dévêtir laborieusement par Dan (pas très pratique, la tunique), défaisait son chignon en révélant son ample chevelure ...
    ... rousse et se faisait empoigner les nibards tandis qu'elle expulsait son vêtement tombé à ses pieds. Un bruit de succion envahit la pièce : Françoise, accroupie, se gavait déjà de la bite de Charles. Très sensible des seins, Maryse gémissait déjà sous la langue de Dan qui s'attardait sur ses mamelons. Il y a longtemps qu'on ne s'en était pas aussi bien occupés, de ses seins, et elle se mit à mouiller d'abondance dans son string.
    
    A côté, Françoise s'était assise sur le lit en écartant les jambes et s'adressa à Charles :
    
    - Lèche-moi maintenant.
    
    - Tabernacle ! Tu n'as pas de culotte, s'exclama le Canadien, qui plongea aussitôt le museau entre ses cuisses dodues.
    
    Egalement assise en travers du lit, tout contre Françoise, Maryse expulsa son string et ses escarpins et offrit sa chair laiteuse de rousse, piquetée de taches de son, au solide gaillard qui lui faisait face. Celui-ci la considéra avec attention. Cette femelle juteuse et offerte l'inspirait au plus haut point malgré son âge, ou peut-être à cause de celui-ci. Les coudes sur le lit, le regard planté dans le sien, elle le défiait de sa féminité. Lorsqu'il baissa son pantalon, sa queue lourde et épaisse pointait vers le plafond et Maryse la caressa du pied.
    
    - Mets la moi maintenant, lui souffla-t-elle. J'en ai très envie.
    
    Vite coiffé d'une capote et entièrement nu, il dirigea son engin vers la vulve palpitante de la rousse qui l'absorba en lui bloquant les reins de ses pieds et la sarabande commença alors que ...
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