Les aventures de Françoise (3)
Datte: 14/08/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Micky, Source: Hds
... ne pas en porter car ça faisait vilain avec l'échancrure du dos de la tunique "et après tout, mes nichons tiennent encore bien la route, non ?" Françoise opta au contraire pour un soutien-gorge pigeonnant qu'elle avait emporté en rechange afin de bien "remplir le décolleté" qui, à dire vrai, n'en avait pas vraiment besoin, vu ses obus. En revanche, elle décida de ne pas porter de slip :
- J'aime me sentir cochonne même si ça ne doit déboucher sur rien, expliqua-t-elle.
- Fais gaffe quand même à ne pas croiser les jambes trop haut, ta jupe est vraiment très courte, on verrait ta chatte.
- Et alors ? On va bien voir tes nichons à travers le tissu de ta tunique, vraiment très léger. Et toi, tu mets une culotte ?
- Un string, ça suffira.
On l'a compris, pour cette soirée imprévue, les deux collègues étaient tout émoustillées. Françoise l'avait déclaré sans ambages à sa collègue sur le chemin de l'hôtel :
- On a vraiment une belle occasion de baiser. Ces deux gars, ils sont peut-être un peu jeunes pour nous mais ils n'ont probablement pas tiré un coup depuis longtemps. S'ils voient qu'on est open, ça peut leur donner des idées.
- J'avoue que ça me fait un peu peur. Je me sens un peu rouillée. Et puis quoi, tu as vu la différence d'âge ? Ils vont partir en courant après le repas.
- On verra mais ça m'étonnerait. Quand ils verront que tu es à poil sous ta tunique, ils vont triquer, je te le parie. Tu te sous-estimes. Maintenant, si tu préfères ton gode, libre ...
... à toi.
- Comment sais-tu que j'ai un gode ?
- C'est tout vu. Tu as le profil. Moi aussi j'en ai un mais je préfère quand même une vraie bite, chaude et dure.
- Ne rêve pas trop quand même. Il faudrait déjà les faire bander, ce n'est pas gagné.
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Au restaurant, les deux femmes firent d'emblée une certaine impression aux deux gaillards qui, eux, étaient restés en jean et en tee shirt. Ils les virent tout à coup plus jeunes et donc plus désirables. Ils ne furent pas longs à comprendre qu'elles les voulaient dans leur plumard le soir même, en récompense des services rendus supposaient-ils, en quoi ils avaient tort. Dans un premier temps, ils s'en amusèrent mais au fil de la soirée et des boissons, la perspective d'une bonne séance de baise avec ces deux "matures" ne leur parut plus du tout folklorique. Le râblé, prénommé Dan, était de plus en plus fasciné par les gros seins de Maryse qui dansaient sous la toile légère. Le chevelu, Charles, en pinçait pour la bouche gourmande de Françoise et ne quittait pas son cul des yeux lorsqu'elle le faisait rouler en marchant sans se douter pour autant qu'il était nu sous l'étoffe. A la fin du repas, réglé comme promis par les deux femmes, il fut question d'une sortie en boite mais Françoise décida de lever toute ambiguité :
- Les gars, on sait comment ça va se terminer, pas la peine de perdre du temps. On a tous les quatre envie de baiser, non ? Maryse et moi, on est dans le besoin et on suppose qu'il en est de même ...