Quand Jean devient Jeanne avec de l'aide
Datte: 09/03/2018,
Catégories:
hbi,
hplusag,
hépilé,
danser,
fdomine,
soubrette,
hféminisé,
Oral
hdanus,
hsodo,
init,
Transexuels
Auteur: Tom, Source: Revebebe
... ?
Jeanne sentit ses joues rougir. 19 heures arrivèrent enfin. Jeanne était pomponnée de la tête aux pieds ; Caroline avait vérifié le moindre petit détail (et pensé à retirer le plug anal). Jeanne était belle, bien habillée, sentait bon et portait de superbes chaussures à talons aiguilles, mais elle avait la gorge serrée. Caroline, remarquant son trouble, ouvrit une bouteille de champagne et servit deux coupes.
— Bois une gorgée ; je ne voudrais pas te voir défaillir comme une pucelle, dit-elle d’un ton moqueur.
La sonnette retentit ; Caroline alla ouvrir et fit entrer le rendez-vous de Jeanne. Elle le fit asseoir, lui servit une coupe, et tous deux entamèrent une conversation anodine. Jeanne ne savait plus où se mettre et n’osait pas pour l’instant entrer dans la pièce. Caroline l’appela :
— Jeanne ? Ton visiteur est arrivé. Viens lui dire bonjour.
Jeanne entra fébrilement dans la pièce. L’homme se leva ; il se prénommait Henri.
— Je ne vous présente pas! fit Caroline, amusée.
— N’oublie pas ta valise, et fais-moi la bise ma chérie. Amusez-vous bien et soyez sages, n’est-ce pas ? fit-elle en clignant de l’œil.
Elle ouvrit la porte et fit la bise à Jeanne et à Henri, qui se dirigèrent vers la voiture de ce dernier.
La voiture d’Henri roula pendant une heure et demie. Tout ce temps, il parla tout en laissant naviguer sa main sur la jambe de Jeanne, qui ne semblait pas détester cela. Ils approchèrent d’une grande demeure au milieu d’un parc dans la ...
... propriété d’Henri. Grande fut la surprise de Jeanne qui pensait se rendre dans un restaurant.
Henri, plein de bonnes manières, laissa entrer Jeanne la première, prit son manteau de fourrure blanche et lui tendit la main pour prendre son bras et la diriger vers la pièce principale. Ses bonnes manières n’empêchèrent pas un regard furtif sur le haut des fesses de Jeanne, visibles par la grande échancrure de sa robe longue de soirée, et dont le mouvement de balancier était accentué par les chaussures à hauts talons. Le petit sourire d’Henri prouvait son contentement. Henri proposa à Jeanne d’aller se rafraîchir avant le dîner, ce qu’elle accepta. Jeanne dut se mettre quasiment nue pour s’asseoir sur les toilettes ; elle se rappela sa cage de chasteté : elle était si confortable qu’elle l’avait oubliée.
Après s’être passé de l’eau aux endroits stratégiques, Jeanne remit son string sur la cage de son « oiseau », renfila sa robe, se parfuma encore un peu et se poudra légèrement les joues. Que d’évolution de Jean à Jeanne… Tout avait été si vite, et pourtant tout s’était passé tellement en douceur. Bref, trêve de rêveries : son hôte l’attendait en bas pour le dîner.
Le repas fut exquis ; Henri se montra très courtois et détendit l’atmosphère en faisant rire Jeanne de nombreuses fois. Après le café, Henri accompagna Jeanne en direction de sa chambre, et n’y tenant plus lui dit :
— Jeanne, j’ai envie de vous.
— Mais… Henri… vous savez…
— Je sais, Jean, mais vous êtes bien ...