Quand Jean devient Jeanne avec de l'aide - Histoires de Sexe

Quand Jean devient Jeanne avec de l'aide

... Caroline qui fit quelques mouvements de va-et-vient, puis le ressortit.

— Tu vois, quand tu veux… Et ça a l’air de te faire de l’effet.

Effectivement, cette fois Jeanne avait une belle érection.

— On va s’occuper de cela aussi. Maintenant retourne sur le lit et mets-toi en levrette.

Puis Caroline retira le plug, et pendant que le trou restait béant, elle enfila le gode-ceinture jusqu’au fond.

— Alors, ça fait quoi se faire baiser, ma chérie ?

Et sans attendre de réponse :

— Maintenant je vais te limer comme un homme le ferait ; tu as le droit de gémir !

Effectivement, Caroline lima, sans ménagement, de longues minutes. Mais la légère douleur que Jeanne ressentait se transformait peu à peu en plaisir. Oui, ça devenait agréable, au point de s’entendre dire :

— Encore, ouiii, encore !

Jeanne s’écroula sur le lit après un orgasme énorme venant de ses entrailles, et sans avoir éjaculé. Caroline, satisfaite de ce qui venait de se passer, lui dit :

— Maintenant tu es prête. Allonge-toi sur le dos ; je vais m’asseoir sur ton visage de poupée et tu vas me lécher bien profond ; rends-moi le plaisir que je viens de te donner.

Jeanne s’exécuta en s’appliquant, puis elles s’endormirent harassées par tant de plaisir ; mais avant, le plug de Jeanne fut remis en place.

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Jeanne était fébrile ; le rendez-vous était pour ce soir, et le monsieur « dans la cinquantaine » devait passer la prendre à 19 heures. ...

... Caroline, elle, s’était absentée en milieu d’après-midi pour aller chercher « la touche finale à la féminité de Jeanne ». Cela ne rendait pas Jeanne moins inquiète, au contraire. Caroline rentra et dit :

— Je l’ai. Déshabille-toi et mets-toi debout devant le lit.

Elle ouvrit une belle boîte contenant un sachet de tissu.

— Voici une cage pour ton petit oiseau. Tu es une femme à présent ; il serait malvenu que tu aies une érection devant ton cavalier !

Le sachet contenait des petites pièces en plastique et un fourreau à la forme d’un petit sexe. Jeanne était nue, les mains nouées devant son pubis.

— Mets les mains dans le dos et ne bouge plus.

Caroline attrapa ses bourses et entreprit de les faire passer dans un anneau. C’était étroit, mais l’anneau finit par prendre sa place derrière les bourses, puis elle enfila le fourreau sur le sexe de Jeanne, mit un axe pour maintenir l’ensemble et, avec une clé fournie, verrouilla la cage de chasteté. La cage était en plastique de couleur blanche, et au contact de la peau devenait plus malléable. La sensation était des plus bizarres, mais pas désagréable.

— Voilà. Avec ceci, plus de problèmes d’érection ; et ne t’inquiète pas pour la clé : je la garde avec moi, tu n’en as pas besoin.
— Mais…
— Pas de mais qui tienne ! À présent, tu es une jeune fille qui doit se rendre à un rendez-vous galant ; ne te préoccupe que de te faire belle pour plaire, et rhabille-toi, petite catin ! Tu ne vas pas rester nue pour sortir ce soir ...