1. Elise au clair de lune


    Datte: 14/08/2019, Catégories: f, fh, fhh, inconnu, grosseins, forêt, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, entreseins, Oral Partouze / Groupe fdanus, fsodo, Auteur: Julienrêve, Source: Revebebe

    ... malgré moi.
    
    Nous traversons la prairie occupée par les moutons jusqu’à une cabane légèrement en contrebas. Il marche devant moi, il ne lâche pas ma main, mais il marche sans précipitation. C’est plus un accompagnement qu’un kidnapping. D’ailleurs, pourquoi kidnapping ? Je n’ai même pas crié. Je réalise maintenant, en traversant ce champ, que je n’ai donné pratiquement aucun signe de panique ou de refus !
    
    Devant la porte il pose un doigt sur mes lèvres pour m’inviter à me taire, puis il entre. Aussitôt un bruit me parvient aux oreilles, un autre homme ronfle ici. L’intérieur de la cabane est éclairé par la lune. Je détaille l’endroit. C’est une modeste bâtisse faite de bois et de pierre. Une table et deux chaises trônent au milieu, une petite armoire est adossée à l’un des murs. En face, une cheminée où finissent de se consumer quelques braises. Une grille calée en travers du foyer atteste de l’endroit où les occupants préparent leur repas. Dans un coin, un abreuvoir en zinc sert d’évier et de lavabo, un petit meuble bas, de desserte. Les deux autres coins sont occupés par des lits, dans celui de droite, le dormeur, et l’autre, inoccupé, doit être celui de mon guide.
    
    Il prend une cruche sur la table et me tend un verre d’eau. Je bois volontiers, trop contente d’avoir quelque chose à faire le temps de réfléchir à une issue honorable à tout cela. Il est près de moi, il me regarde boire et, lentement, pose une main légère et chaude sur la courbe de mes fesses. Ce geste ...
    ... me fait frémir, cela n’est pas désagréable, mais il augure d’une suite plus hasardeuse. Je pose sans bruit mon verre sur la table et le dévisage. Je ne veux pas faire de scandale, ne pas réveiller l’autre, mais simplement m’en aller.
    
    Il est brun, les cheveux bouclés, son visage est ovale, ses yeux marron étincellent dans la pénombre, ses joues sont sans poil, une fossette creuse son menton, il semble avoir mon âge. Il porte une chemise à carreaux ouverte sur un torse velu, un jean enserré en bas dans des petites bottes de cuir. Il pose une main sur sa chemise et murmure son prénom :
    
    — Marco.
    
    Je prononce le mien. Pour confirmer les présentations, il place ma main sur sa poitrine, répète son nom, puis pose la sienne sur la vallée entre mes seins et chuchote :
    
    — Elise.
    
    Quelques secondes passent, nous restons l’un contre l’autre à nous dévisager, nos mains appliquées sur le corps de l’autre. Il murmure en souriant quelques mots en italien, puis déplace ses doigts de quelques centimètres et, petit à petit, parcourt ma poitrine en une exploration appliquée, qui devient une caresse.
    
    Sa nudité magnifique me remplissait de joie, je lui ai dit que je remerciais le Seigneur de me l’avoir confiée.
    
    Je comprends seulement que je me suis piégée moi-même en entrant ici et que, même s’il est beau garçon et que ses manières sont douces, il me faut le repousser si je veux éviter le pire. Soudain, derrière moi, le dormeur émet un puissant grognement, suspendant toute réaction ...
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