1. Femme douce et gentille


    Datte: 14/08/2019, Catégories: fh, campagne, noculotte, Oral pénétratio, fouetfesse, telnet, fsoumise, hdomine, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... ! Par ici, il y a plein d’arbres et de bosquets noyés dans les hautes herbes ! Et si peu de passage…
    
    Là, maintenant, je suis plaquée contre le tronc rugueux d’un arbre, mes seins aplatis dessus, ma joue sur l’écorce, une légère brise autour de moi. J’attends, jupe relevée, fesses à l’air… J’attends…
    
    Je l’entends qui s’agite derrière moi, je ferme les yeux, le nez dans l’odeur de l’écorce. J’écoute les mille bruits de la nature, j’ignorais qu’il puisse y en avoir autant : le chant des feuilles, le bruissement des branches, le vrombissement des insectes, le feulement, le bourdonnement de dizaines de choses en mouvement, là, tout autour de moi. L’arôme des plantes et la fragrance des fleurs me font tourner un peu la tête. Je me sens en communion avec cette nature qui m’accueille en elle…
    
    Ah !!!
    
    Un coup sec sur mes fesses, une cravache végétale vient de me zébrer le fondement. Je ne sens presque rien pour l’instant, sauf une sourde excitation. Je tends le cul dans l’attente de la suite… J’ai découvert que j’adore ça ! Bien sûr sans que ça ne vire mal, dans tous les sens du terme, mais être ainsi fouettée me chamboule au plus profond de mon corps, des frissons s’élèvent en moi, ça me fait chaud au ventre, c’est terriblement excitant, c’est… c’est tout ça !
    
    Une montée d’adrénaline !
    
    Un autre coup, un autre plaisir. Les seins pressés sur le tronc rude, je savoure ce bien-être interdit. Je sens mes fesses rougir un peu, l’impression de chaleur monte en moi, prélude ...
    ... à un incendie ravageur. La dernière fois, j’avais demandé à Alexis d’y aller de bon cœur, il avait eu quelques réticences, mais j’avais été très persuasive, je voulais savoir, je voulais connaître ! J’avais même dû supplier qu’il continue, tant la douleur se muait en plaisir, un plaisir suave, épicé, sans frein, plein de chaleur, de souffrance et de ravissement ! Vers la fin, mes fesses en feu, mon corps tétanisé, j’avais un orgasme par coup de fouet !
    
    Alexis s’en était voulu, je l’avais rassuré. Les hommes sont comme des gros bébés, surtout quand ils sont dépassés par ce qu’ils ont au début, provoqué…
    
    Ouh !
    
    Même une simple petite tapette me donne des frissons voluptueux ! Je sens bien que la cravache végétale se désagrège, certainement une torsade de hautes herbes, le tout ligaturé tant bien que mal…
    
    — On arrête là !
    — Pourquoi ? dis-je, déçue.
    — Le… machin est cassé. De plus, ça me gêne un peu…
    — On en a déjà parlé avant ! Je veux que tu continues !
    
    Un bref silence. Je remue du popotin, c’est un argument très persuasif. Il soupire :
    
    — Ok, ok… mais pas de branche d’arbre !
    — Soit… mais dépêche-toi !
    
    Il s’active, je l’entends qui s’affaire. J’attends. Mes fesses refroidissent, mon excitation s’estompe, la chaleur s’en va petit à petit. Les bruits sont toujours autour de moi, les odeurs aussi. Un petit vent fait bruisser les feuilles et caresse mes jambes. Je me plaque plus encore sur le tronc d’arbre, sur cette écorce râpeuse, mes cheveux épars…
    
    Ah ...