1. Femme douce et gentille


    Datte: 14/08/2019, Catégories: fh, campagne, noculotte, Oral pénétratio, fouetfesse, telnet, fsoumise, hdomine, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... ???
    
    Houlà, je ne sais pas ce que c’est mais c’est efficace. Ce n’est pas aussi dur qu’une branche, c’est plus souple, ça semble mieux épouser les rondeurs de mes fesses, c’est très… efficace et voluptueux ! Je tourne la tête pour savoir, il me tend son nouveau fouet : un amalgame de ciguës ligaturées par des hautes herbes à larges bandes. C’est assez élastique, flexible et caressant, enfin, dans un certain sens…
    
    Je soupire d’aise, mon cul est bien fouetté, juste comme il faut, ni trop peu, ni trop brutalement. Je perçois distinctement les cinglées zébrer mes fesses, cette chaleur sourde monter en moi, la cuisson lente de mes cuisses langoureuses… Oh oui que j’aime ça, je n’aurais jamais songé à cet aspect des choses du sexe. Maintenant que j’y ai goûté, je suis comme une enfant qui vient de dévorer son premier gâteau savoureux : j’en re-veux toujours et encore, je suis insatiable !
    
    Chaque claquement est un nouveau pas vers un plaisir souverain, chaque zébrure est une marque de plus dans mon asservissement et mon assouvissement, chaque douleur est un bonheur, un bien-être, une montée vers cette sensation de plénitude, chaque sanction est comme une porte qui s’ouvre vers toujours plus de désirs, d’envies, de soumissions, vers cette étrange contrée où la douleur et l’orgasme se mélangent, vers cette petite mort à laquelle j’aspire !
    
    Mon esprit se brouille, je jouis de façon insensée sous chaque caresse cuisante, sous chaque frôlement douloureux, sous chaque ...
    ... mortification qui explose en délectations et délices ! Un tourbillon me capture, je mouille comme une fontaine, un ruisseau, un fleuve, je me liquéfie sur ce tronc que j’enlace de tout mon être, pour fusionner avec, pour me fondre, pour toujours vivre cet état suspendu, loin de la réalité, loin, très loin, si loin !
    
    — Stop !
    
    J’halète, je me tords, je n’en peux plus, mon corps se désintègre, mes fesses sont marquées au fer rouge, je suis transpercée de mille aiguilles, de mille décharges électriques, de mille zébrures de plaisir, de douleur, de mille sensations extraordinaires, indescriptibles !
    
    Un choc, j’ouvre les yeux, surprise : Alexis vient de se plaquer contre moi, je sens ses poils durs sur mes fesses écarlates, la sensation est puissante, immense, cuisante ! Je tente de protester, mais aucun son ne sort de mes lèvres, je suis trop ailleurs, encore sur mon nuage, en train de savourer mon plaisir. Il se frotte sur moi, je hurle intérieurement, mes sens sont à vif, taraudés par ce mélange de jouissance et de douleur. La chaleur de sa peau m’apaise un peu, son pieu brûlant semble chercher sans ménagement une entrée.
    
    Il est en moi, son pal complètement en moi, plaqué sur mon dos, mes fesses incandescentes. Je sens distinctement son mandrin qui s’active, qui me fouille, qui m’exige. Le bas de son ventre claque sur mon fessier, déclenchant mille fourmillements, mille explosions, mille étoiles. Son souffle court dans mon cou, ses ahanements, ses grognements de convoitises, ...
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