1. Une pipeuse de rêve


    Datte: 13/08/2019, Catégories: fh, inconnu, nympho, facial, Oral sm, occasion, Auteur: ErikKlaude, Source: Revebebe

    ... Visiblement, elle avait lu tout Jean Genet :
    
    Suce mon membre dur comme on suce un glaçon.
    
    Mordille tendrement le paf qui bat ta joue,
    
    Baise ma queue enflée, enfonce dans ton cou
    
    Le paquet de ma bite avalé d’un seul coup.
    
    Étrangle-toi d’amour, dégorge, et fais ta moue !
    
    Ceci dit, il faut quand même ajouter quelque chose, car elle avait une féminité que n’avaient pas, loin de là, les partenaires amoureux de ce grand poète ! Cette féminité, elle se manifestait sur chaque pouce de son corps. Un corps délié, des seins un peu lourds, mais naturels, et un petit abricot glabre, la taille fine d’une femme qui n’a pas encore porté le fruit de l’homme, et des fesses, des fesses à faire rêver tout sodomite.
    
    Je ne regardais même plus la pendule, il aurait été insultant, vexant, de voir mon attention distraite par autre chose que la scène qui se déroulait entre mes cuisses ! À chaque fois que je me sentais partir, elle relâchait la pression. Tortionnaire !
    
    Quand elle voulait faire une pause, elle se contentait de rester devant sa sucette bouche ouverte, offerte, me lançant des regards enflammés, provocants. Et, moi, répondant à cette invitation, je saisissais ses tempes entre mes mains, violais cet orifice béant, cherchais la caresse de sa langue, trouvais le fond de sa ...
    ... gorge, sentais son désir, sa gourmandise, son appétit.
    
    C’était bon de sentir en elle, cette envie de moi. Peut-être était-ce simplement l’envie de ma semence, mais quelle importance ! Moi aussi, j’avais envie de cette femme, à moins que ce ne soit seulement de sa bouche.
    
    Jouir dans sa bouche, voilà, ce que je voulais à cet instant précis. Elle était là, toujours à genoux, à nouveau bouche en offrande. Moi, de la main gauche, je caressais ses doux cheveux, tandis que la droite, je m’astiquais consciencieusement la bite, le frein posé sur sa langue sortie, le méat visant son palais.
    
    Elle, elle ne me jetait plus un regard, toute son attention était tournée vers l’explosion qui approchait, espérant une grosse giclée de foutre épais et gluant.
    
    Et, le voilà, première contraction, premiers cris réciproques, premier jet.
    
    Sur sa langue, sur son palais, sur ses lèvres, sur le bout de son nez, sur la pointe de son menton, le résultat attendu, son dessert, son champagne préféré, du caviar d’homme… Elle rayonnait, rougissante du plaisir qu’elle venait de prendre ! Elle n’en avait pas laissé une goutte, guettant les dernières larmes, léchant tout, pressant mes couilles puis trayant ma queue, comme pour en extirper le jus, tout le jus…
    
    Septième ciel atteint et pulvérisé !
    
    Fin
    
    Érik 
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