1. Une pipeuse de rêve


    Datte: 13/08/2019, Catégories: fh, inconnu, nympho, facial, Oral sm, occasion, Auteur: ErikKlaude, Source: Revebebe

    Elle s’appelait Lise et avait tout juste trente ans. C’était le genre explosif, tantôt rousse, tantôt brune, avec de grands yeux, une peau claire, des seins lourds, un corps élancé, bref le genre de nana qui fait triquer tous les mecs mais qu’ils n’auront jamais dans leur pieu ! Que de litres de sperme perdus, combien de draps et slips souillés, combien de bobonnes baisées en pensant à elle ? Elle, elle avait l’air d’une jeune des sixties, avec jupette rose, chemisier blanc en coton, et de longues nattes ! Quant à sa bouche, c’était parfait. Voluptueuse, des lèvres bien dessinées, une bouche large, pleine de douceur, ourlée, soyeuse. Un vrai travail de sculpteur, d’ébéniste. Michel-Ange, ou Rodin, n’auraient pas fait plus parfait.
    
    Pour résumer, en quelques mots, une bouche à pipe, un aspirateur à bites, une pompe à nœuds ! Le truc dont tout homme normalement constitué rêve toute sa vie. Il faut le dire, j’ai eu tout de suite envie de cette bouche. Cette bouche, rien que cette vision-là, était susceptible de susciter une érection chez n’importe quel mâle.
    
    Au départ une annonce, et une photo sur un site SM. La demoiselle semblait cultivée, soumise, très sexuelle. Et puis, une grosse envie, sucer et faire gicler des litres de foutre sur son visage angélique et démoniaque. Un vampire à foutre, une spermophile, voire une spermomaniaque. Spermophile, du latinsperma, semence et du grecphile, ami. Définition que pourrait donner un dictionnaire :qui aime le sperme. Mais ...
    ... cette définition est insuffisante. Lise, c’est une amoureuse. Pas une amoureuse au sens propre du sper… heu, du mot. Non, une amoureuse du pouvoir que peut procurer sa bouche.
    
    Elle avait compris une chose. Face à sa bouche, le cerveau d’un homme migrait de son encéphale vers ses couilles, puis de ses couilles, lentement par le canal urinaire, vers le méat, avant d’exploser sur sa face, ou d’inonder sa gorge.
    
    Quand il bande, un mec se prend pour le Dieu Priape ! Qui est la vraie divinité ? Celui qui est debout, ou celle qui est à genoux ? Lise avait tout compris. Celui qui est debout vit une illusion, celle qui est à genoux vit une réalité !
    
    Quel macho peut comprendre ça ? Combien de mecs en sont conscients ? Combien d’hommes étaient de vrais hommes, c’est-à-dire capables d’offrir un mât dur à sa gourmandise, tout en ayant compris la vérité ? Lise savait la réponse.
    
    Bref, dès la vision de cette annonce, j’ai eu un rêve, une envie, un fantasme. Et ceci était devenu réalité. Lise nue, ou plutôt vêtue de ses seuls piercings, d’un collier en cuir clouté et de hautes bottes en cuir. Lise se déplaçant à quatre pattes, seins pendants dans le vide, cul ondulant. Une vraie chatte qui se venait se frotter contre le jean noir de son maître. Tout en déposant ses phéromones, mentalement, elle lançait :
    
    — Serveur, j’ai commandé une dose de foutre pour l’apéritif ! Ça vient ?
    
    Son impatience était exacerbée, par la protubérance qu’elle devinait gonflée sous les boutons de la ...
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