1. La Vendeuse de Culottes


    Datte: 13/08/2019, Catégories: A dormir debout, Auteur: Jpj, Source: Hds

    ... au dessus du genou, côté intérieur de cuisse. Et elle remontait. La jupe plissait. La fille souriait.
    
    Moi et elle étions en connivence bouches scellées de lèvres palpitantes, corps emmêlés jambes croisées pubis collés et regards perdus en horizons lointains.
    
    Ma copine remontait vers les intérieurs de la vendeuse lentement sûrement avec autorité.
    
    La vendeuse se liquéfiait sous la caresse. Ses intimités s'étaient ouvertes en bon accueil et ses chairs plissées dégoulinaient hors les parenthèses.
    
    On ne le savait pas encore mais je puis vous le dire, quand on s'est aperçue que la vendeuse ne portait pas du tout de culotte, on a, ma copine et moi, incontinemment mouillé nos goussets en tendresse partagée.
    
    On a ri pouffant toutes les trois complices. La vendeuse a dit, va vous falloir les acheter ces culottes d’essai vu l’état dans lequel vous les avez mises ! Seront plus présentables ... aux autres clientes.
    
    Elle a ajouté, moi je ne risque rien vu que je suis toujours à l’air libre. Un paradoxe pour ce job, non ?
    
    On était deux, à quatre mains, sous ses jupes à palper ses fesses ses cuisses et surtout sa chatte finement velue de poils longs et lisses comme pelage de cheveux fins de nuque.
    
    Elle aussi était trempée et ma main empaumait sa toison, annulaire et majeur plongés en elle tandis qu’auriculaire et index parcouraient son entrejambe encadrant ses grandes lèvres en pressant fort sur les chairs sensibles.
    
    Phalanges recourbées je frottais du charnu ...
    ... des deux doigts, par l’intérieur, en haut de son vagin, le fameux point G.
    
    Arroseur arrosé, la toucheuse était touchée et s’apprêtait à prendre son pied. J’accelérais le mouvement et la fille dans nos bras cessa brusquement de frétiller, son corps se raidit ses reins se cambrèrent et son visage se figea en un rictus d’orgasme terrassant.
    
    Les cuisses serrées elle emprisonnait ma main tandis que son intimité avait avalé aspiré mes deux doigts jusqu’au plus profond d’elle et les serrait comme en un étau.
    
    Brusquement l’étreinte cessa pour faire place à des convulsions au rythme de plus en plus lent, de moins en moins fortes.
    
    Le calme et l’apaisement m’ont enfin permis de retirer ma main. Ma copine, yeux fermés, a attrapé mon poignet pour enfourner majeur et annulaire et les sucer avec délectation.
    
    La toucheuse était encore dans nos quatre bras, flappie et troublée. Elle nous a dit, voyez moi, ça j’aime beaucoup. Et elle s’est suspendue à mon cou en prenant mes lèvres et s’est tue. Elle nous tenait chacune par la taille et nous serrait fort. On comprenait que nous étions ses vestales, ses nouvelles copines.
    
    Dans copine n’entend-on point le son pine ? Bien sûr que si.
    
    Nous, on était venues là, dans cette boutique, pour prendre bonheurs de tripotage. Pas pour en donner.
    
    Mais cette jeunette toute fraîche nous avait sidérées.
    
    Déjà de bosser dans cette boutique de culottes sans même en porter une elle-même ... comme un boucher qui aurait été végétarien ou un ...