Révolte 06: Un An Déjà!
Datte: 11/08/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... permettaient aussi de frauder les lois sur la parités apparut dans les pays occidentaux. Le personnel féminin d'Anglefrique faisant partie de l'entreprise, un grand nombre de femmes ici faisaient donc remonte le pourcentage de femmes dans lesdites entreprises, y compris pour l'encadrement ou les dirigeants. Mais le plus intéressant, elles se faisaient la main, apprenaient à maîtriser un poste important. Il y avait donc dix millions de travailleuses, bossant pour des boîtes étrangère, dans la grande majorité de jeune femmes débutante, venu se faire la main pour le compte de leurs entreprises.
Sur les cent-trente-cinq millions d'étrangers, la plupart étaient jeunes, ce qui explique qu'il n'y ait eut seulement un million d'enfants ou de mineurs. Ainsi que quatorze millions d'hommes, principalement des cadres, dirigeant ou propriétaire des entreprises exploitant le pays.
Vingt-cinq ans avant la révolution, en pleine crise financière mondiale, l'Anglefrique faillit être lâché par ses alliés historique, qu'étaient à l'époque l'Angleterre et les USA. Le tout sous la menace de la Russie et de la France, fustigeant la violation des droits de l'homme par le dictateur et président à vie. Ce dernier, pour redoré son blason au niveau mondiale, eut alors une idée de génie. Les caisses étant plus que pleine, les comptes du pays, enfin, ceux du président à vie, débordant de milliards, il eut une idée.
A l'époque, il n'y avait donc que vingt-cinq millions d'étrangers dans le pays. ...
... Pour en faire venir plus, et qui ne diraient que du bien de l'Anglefrique, il défiscalisa totalement les salaires des employées féminin. La dangerosité du monde pour les femmes fut aussi un atout pour lui. Il surfa dessus.
Il créa des universités entièrement féminine, proposant la gratuité totale des cours. Il débaucha les meilleures ou les plus prometteuse jeune professeurs d'université, en triplant leurs salaire. Il créa ainsi, les premières université cent-pour-cent féminine. Prof, élève, personnel administratif, membre de la sécurité, cuisines, tout les emplois n'étaient occupés que par des femmes. Les billets d'avions pour venir et pour repartir en fin d'études, seraient à la charge de l'état Anglefricains. Ainsi que deux voyages par an et par étudiantes pour aller voir leurs famille pendant les vacances. Ses universités trustèrent rapidement les premières places mondiale, et foule d'étudiantes, riches comme désargentées s'y inscrivirent. Les unes pour la renommées, les autres pour la gratuité. Le succés fut tel, qu'environs dix autres université virent le jour. Tout se passa entre femmes, même les magasins, les supermarchés qui furent crées autour des université n'employaient que des femmes, jeune, jolie et étrangères, débauchées dans leurs pays d'origine pour un salaire mirobolant.
Il créa aussi des centres de recherches, aussi bien informatique, que médicaux ou spatiaux. Le tout également, uniquement avec des chercheuses femmes, jeunes et prometteuses. Les moyens ...