Révolte 06: Un An Déjà!
Datte: 11/08/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
L'histoire se déroule dans un pays anglo-saxon d'Afrique. Pour en facilité la compréhension, les propos sont traduits pour plus de confort de lecture. Si ce récit commence doucement, rapidement il va se diriger vers la violence et le viol. Alors pour ceux qui n'aime pas le genre, ne lisez pas. Vous serez frustré et n'aimerez pas. Pour les autres, bonne lecture, en espérant que ce récit vous plaise autant que les précédents. Il a été écrit avec mon coauteur jlkarlos.
En aucune manière, des mineurs n'apparaissent dans ces histoires. Pour couper court à
toute spéculation, l'un des paradoxes de mes histoires est l'absence totale de mineurs. Même si certains récits peuvent prêter à confusions,les protagonistes seront obligatoirement majeurs.
Je profite aussi de ce chapitre pour passer un message personnel. Le français n'étant pas ma langue de naissance, je sais que je fais pas mal de fautes d'orthographes et de grammaire. En effet si à l'oral cela passe, cela passe plus difficilement à l'écrit. Cela peut gêner certains lecteurs, ce que je comprends parfaitement et m'en excuse devant eux.
Sinon, n'hésitez pas à laissez des commentaires, cela permet de voir quelle direction donner à l'histoire. Présente ou futur. Merci à vous et bonne lecture.
Un an déjà que la révolte a eut lieu. Sur les cent-trente-cinq millions d'étrangers, seul cent mille environs, sont encore caché dans le pays. Aucun ne l'a quitté après le début de la révolution. Sur les vingt mille qui étaient ...
... à l'étranger, seul une vingtaine n'ont pas encore été extradé vers l'Anglefrique. D'ici six mois, les étrangers cachés, comme ceux étant à l'étranger, auront tous été remis à L'Anglefrique ou repris par la police, les unités de traques et l'armée.
Les premiers bénéfices de la révolution se sont déjà fait sentir. Si il n'y a pas de salaire minimum pour les travailleurs venant de l'étranger, celui pour les Anglefricains est passé à mille cinq cents euros net. Chaque entreprise est obligée de faire travailler quatre-vingt-dix huit pour-cent de Anglefricains, un quota minimum. Il est de même pour les cadres et dirigeant des entreprises.
L'école est devenu obligatoire jusque à seize ans. Toutes les études sont totalement gratuite. Les étudiants ne devant les rembourser que si ils vont bosser à l'étranger. Les prix de l'alimentation, si ils ne sont pas fixés par l'état, le maximum de bénéfice est de vingt pour-cent par produit. Ce qui à fait diminué par dix le prix des denrées. Les matières premières, l'agriculture, l'élevage, les centres de loisirs, les métaux rare ou précieux, tout ce qui fait la richesse de l'Anglefrique est nationalisé. Les bénéfices sont redistribué. Des villes nouvelles voient le jour. Le bâtiment explose, on construit de partout. Le gouvernement tenant sa promesse de donner un logement à chaque hommes anglefricain, le nombre de pièce dépendant de sa famille. Policier et militaire voient leurs salaires grandement augmenté. La médecine devient totalement ...