Tennis avec mon père (2) - Histoires de Sexe

Tennis avec mon père (2)

... fascinée par le spectacle. Ce n’était pas si souvent que ça qu’elle voyait un papa enculer son fils. Moi j’étais aux anges, jouissant de ce nouveau plaisir de la pénétration anale. Mon père faisait maintenant des va et vient, lents et réguliers, ce qui était absolument délicieux. Je le sentais aller très loin dans de mon fondement, reculer, pénétrer encore plus loin. C’était extraordinaire, source pour moi d’un plaisir que je n’avais encore jamais connu.

De temps en temps il se retirait, je me redressais et Clara venait me sucer, histoire de varier les plaisirs et d’entretenir mon érection.

Puis mon père revenait la charge, m’enculait de plus belle.

Visiblement il prenait son pied, s’agitant dans mon cul avec délectation. Il était plein d’énergie et j’adorais ça.

Depuis quelques instants, il avait augmenté la cadence de sa pénétration, et ses mouvements devinrent presque frénétiques.

— Putain fiston, c’est bon ! Je n’en peux plus !

— Tu ne vas quand même pas jouir dans ton fils ! I intervint Clara.

— Non, il ne faut pas...

Il se contracta, se raidit. Trop tard !

Il avait joui. Mon père avait joui dans mon cul ! C’était un vrai taureau, j’avais du sperme partout, c’était déguelasse. Mais si bon en même temps !

— Merde, c’était trop bon, fiston, j’ai pas pu me retenir, désolé... Et toi, ça va ? Tu as aimé ?

Je ne savais pas trop que répondre. J’avais honte d’avoir pris du plaisir. Il faut dire aussi que j’avais le cul assez explosé.

Clara ...

... s’approcha alors de mon père. Elle lui souffla quelque chose à l’oreille. Mon père se tourna alors vers moi :

— Fiston, Clara à raison, je vais te finir. Je vois que tu bandes encore.

Il se pencha alors vers moi et mit ma queue dans sa bouche. Il commença alors à me sucer avec délectation. En même temps Clara, à côté de moi, se laissait caresser les seins et les fesses. Elle était vraiment bien foutue. Je l’aurais bien baisée, la salope, mais mon père s’occupait tellement bien de ma queue que je n’osais l’interrompre.

Il me sucait avec un indéniable savoir faire. Je voulu profiter au maximum de ces délicieuses caresses, mais peu à peu je sentais la jouissance monter.

Il reprit ma queue en bouche et... quelques secondes après c’était l’explosion..

Un jet incroyable de sperme chaud inonda la bouche de mon père.

— Putain qu’est ce que tu jouis fort, fiston ! J’ai jamais vu autant de foutre !

Je devais reconnaître qu’il en avait partout.

Il se lècha les babines, ravi d’avoir un fils aussi cochon que lui.

Inutile de dire que le retour à maison fut assez spécial, encore une fois. Mon père était ravi mais moi j’avais quelques remords, notamment vis à vis de ma mère qui ne se doutait évidemment pas de ce qui s’était passé.

— Vous avez bien joué aujourd’hui ?

— Heu très bien maman...

Je sentais encore bien la queue de mon père dans mon cul...

La nuit venue, je fis des rêves très perturbants : mon père et ma mère étaient à genoux, côte à côte, sur le ...