Tennis avec mon père (2) - Histoires de Sexe

Tennis avec mon père (2)

... films x.

Mon père jubilait.

— Bravo Clara ! Tu es excellente ma chérie !

Il se rapprocha, se positionna à côté de nous. Il se mit à caresser la belle chevelure blonde de sa copine, presque amoureusement pendant qu’elle continuait à me sucer. En même temps qu’il la caressait, il s’était mis à bander. Clara tourna alors la tête et se mit à le sucer lui aussi. En même temps, progressivement il passa la main derrière moi, la posa sur mes fesses.

Inutile de dire que tout ça m’excitait terriblement. Le contact de la main de mon père qui s’était mise à me caresser les fesses était assez délicieux, qui plus est avec la bimbo qui s’était remise à me sucer.

Mon père passa derrière moi, se colla contre moi, sa bite dure contre mes fesses. C’était très impressionnant. Il me caressait les fesses avec douceur, les écartait un peu, glissait un doigt entre mes cuisses, vers mon anus. Je le sentais hésiter, tourner autour du pot. Il porta alors la main à sa bouche, déposa un peu de salive au bout d’un doigt, puis redescendit sa main. Là il osa : je sentis son doigt rentrer à l’intérieur de mon cul.

Ma respiration s’arrêta. Jamais personne ne m’avait fait ça. Cette sensation d’être pénétré était impressionnante mais délicieuse. Je sentais le doigt de mon père s’agiter doucement dans mon trou du cul.

Puis il enleva son doigt et se colla à nouveau contre moi. Je sentis sa bite dure essayer de passer entre mes fesses.

Mon propre père avait il l’intention de m’enculer ? ...

... J’en eu des sueurs froides. Quel scandale ! J’avais honte d’avoir de telles idées. Et pourtant j’en avais vachement envie.

Clara se redressa et d’une légère pression sur les épaules m’engagea à me pencher en avant. Elle avait compris ce qui allait se passer et avait bien envie de voir ça !

Je présentais alors mon cul à mon père, attendant la suite. Il était positionné derrière moi, la queue glissée entre mes fesses, vers l’entrée de mon cul. Je le sentis essayer de forcer l’entrée. Ce n’était pas si facile, étant donné que c’était une première pour moi.

Mais mon père était très prévenant :

— Détends toi, fiston. Tu vas voir, c’est très bon. Il faut juste avoir confiance.

Suivant ses conseils, je respirais profondément, me penchais bien en avant et me relâchais. Le résultat fut immédiat. Je sentis son gland passer la barrière de mon sphincter. Ca y est, il était dans moi.

— Bravo fiston. Vas y, continue à respirer, laisse toi aller. Ce plaisir là il est unique, tu vas te régaler !

Il poussa un peu sa queue, recula, poussa un peu plus loin. A chaque fois, j’avais peur du résultat, mais c’était en effet délicieux. Sentir ce truc énorme dans mon cul était une sensation très spéciale, très agréable. Mon père jubilait :

— Ben tu vois, c’est bien, hein ? T’aime ça ?

Il était maintenant rentré très profond. Je n’arrivais même pas à repondre tellement le plaisir était intense.

Ce fut Clara qui répondit à ma place.

— Il adore, Philippe !

La bimbo était ...