1. Stéphanie


    Datte: 10/08/2019, Catégories: jeunes, bizarre, cinéma, amour, cérébral, Oral nopéné, Auteur: Bernard, Source: Revebebe

    ... des cheveux en bataille qu’aucun coiffeur digne de ce nom ne voudrait coiffer sans tout raser avant. Elle est en tailleur, ajusté, sa poitrine mise en valeur par le chemisier de classe et le foulard qui doit sortir de chezHermès ouDior. Ses jambes croisées sont habillées de bas nylon discrètement décoré et terminées par des chaussures à hauts talons. Son parfum, qui doit venir d’une grande marque, tout en étant discret, l’entoure d’une fraîcheur printanière.
    
    Elle est trop distinguée pour venir seule dans une salle du centre-ville ! Je suis sûr qu’elle cache quelque chose. À moins qu’elle vienne s’encanailler dans un cinéma de quartier. Je vais tenter ma chance et poser ma main sur sa cuisse. Je risque juste une baffe, tout au plus ! Je déplace ma main pour la poser sur sa cuisse et dès que je touche son bas, elle pose sa main droite sur ma braguette derrière laquelle mon sexe se sent à l’étroit.
    
    Malheureusement, les pubs finissent et les lumières se rallument. Nos mains regagnent leur position précédente, c’est-à-dire sur nos propres cuisses. Je lui jette un regard, mais elle regarde droit devant elle avec un très léger sourire. Je peux admirer son profil quasi parfait. Un profil grec. Son nez n’est ni trop petit, ni trop grand. Ses arcades sourcilières sont marquées par un fin trait de sourcil et sa bouche pulpeuse donne juste envie de la dévorer. De toutes les meufs que j’ai connues, aucune n’arrive à la cheville de celle-là. Une vraie beauté, un canon, un mannequin ...
    ... perdu dans une salle de cinéma. Même son sac à main fait penser immédiatement à une bourgeoise qui a du pognon à volonté.
    
    « Je vais me réveiller, c’est trop beau pour être vrai ! »
    
    Vous n’avez pas envie d’une glace ou de pralines glacées ? me demande-t-elle en tournant sur la tête vers moi.
    
    — Je… oh ! Euh… Oui, non… Enfin, je ne sais pas ! balbutié-je en entendant sa voix délicieusement envoûtante.
    — Moi, je voudrais bien des pralines glacées !
    — Je… Je vais vous les chercher !
    — Oh, c’est très gentil ! Tenez !
    
    Et là, elle me tend un billet de 100 euros ! Je n’en crois pas mes yeux ! 100 euros pour acheter des pralines ?
    
    — Tu n’as… Euh… Vous n’avez pas plus petit ? Je vais vous les acheter, car ils ne voudront pas changer un si gros billet pour une boîte de pralines.
    — Vous pouvez me tutoyer, vous savez !
    — Heu… OK ! Je vais vous chercher… Euh… te chercher ça !
    
    Je me lève, passe devant elle, et au moment où je suis de dos mais toujours à sa hauteur, je sens une main me toucher et glisser sur mes fesses. Je sursaute évidemment et fais un terrible effort pour ne pas me retourner. Cinq minutes plus tard, je reviens avec la petite boîte de pralines glacées et un crème au moka pour moi. Je lui tends sa boîte et elle la prend en prenant ma main du bout des doigts et la caressant avant de se refermer sur la boîte que je lui tends.
    
    Mon sexe tressaute dans mon slip tant ce geste d’une sensualité profonde m’excite. Je me rassieds avec mon sexe aussi tendu qu’au ...
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