Une crevaison providentielle
Datte: 10/08/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Trixie, Source: Hds
... poilu, exempt de toute musculature avec la peau du ventre qui plissait, des bras vraiment maigres, des jambes de momie.
Mais un énorme rouleau de chair d'au moins vingt-sept centimètres de long et de sept de diamètre, pour l'instant au repos, était étendu sur sa cuisse et la longueur du membre dépassait largement la moitié, son scrotum contenait deux testicules gros comme des œufs de pigeon, il avait rasé son pubis. L'absence de toute pilosité augmentait encore l'amplitude se son membre, il vit que je regardais sa verge monstrueuse, en souriant, il me dit :
« Elle te plaît, ma grosse bite... Tu crois que Idrissa l'a aussi grosse que moi ?
- J'espère... et en plus elle est noire... et tu sais que je les adore... Mais viens ici, agrafer mes jarretelles à mes bas. Alfred m'attend ! »
Il s'approcha à quatre pattes sur le lit. Adroitement, de ses vieilles mains, il boucla les fermoirs de devant. Je me tournais, il attacha avec autant de dextérité ceux de derrière. La seconde caméra se déclencha. Les mains du vieux domestique se positionnèrent sur le devant de mes cuisses et remontèrent lentement, le long des lanières, sa bouche s'était posée dans mon cou, avec sa langue, il en remonta la courbe gracile et me mordilla le lobe de l'oreille. Je penchais la tête en arrière pour lui offrir mes lèvres, qu'il mordilla doucement avant que sa langue n'investisse ma bouche.
Ses mains ne restaient pas inactives, avec la gauche, il avait soulevé le bas de ma nuisette, pour ...
... bien dégager mon pubis rasé et après quelques allers et retours le long de mes grandes lèvres moites, il avait inséré son majeur et son index dans mon conduit vaginal. Il ajouta son annulaire et ses trois longs doigts décharnés firent de profonds va et vient dans mon sexe maintenant ruisselant. Son pouce caressait mon clitoris.
De sa main gauche, il dénoua les petits rubans des fentes de la nuisette et les écarta sur mes mamelons, il fit rouler à tour de rôle mes tétons durcis entre ses doigts, les pinçant avec ses ongles.
Les deux caresses conjuguées me faisaient gémir de plaisir.
Il me mit face à lui, je sentais contre mon ventre la dureté de son sexe qui n'avait pas atteint tout à fait son apogée, car lorsqu'il était en érection totale, il avoisinait les trente centimètres. Je le saisis et me mis à masturber la verge qui bien que vieille, dardait fièrement et était dure comme du fer. Il m'embrassa farouchement et descendit lentement les bretelles de ma nuisette, dénuda mes seins et se mit, toujours en m'embrassant furieusement, à me malaxer la poitrine en fixant camera comme pour bien montrer à Idrissa et son frangin que pour l'instant c'était lui le mâle alpha...
Il me prit la tête à deux mains appuya dessus pour me faire comprendre, qu'il désirait que ma bouche s'occupe maintenant de sa bite.
Je me mis à genoux sur le lit jambes écartées croupe relevée pour qu'Alfred et les deux noirs puissent profiter du moindre détail de mon anatomie intime. Je m'appliquais ...