-
Une crevaison providentielle
Datte: 10/08/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Trixie, Source: Hds
... braguette... » « Il n'y a pas d'autre mot pour qualifier une telle femme aussi sophistiquée et VICIEUSE que vous...Une Salope. » Ou : « Excellent récit. Je me suis branlé et mon foutre est parti sur le clavier à présent gluant... » Ou encore : « C'est d'une perversion sans limite, mais wahoo qu'est ce que c'est bandant....bravo vous avez presque fait éclater mon boxer à vous imaginer pervertie par ces porcs... je n'ai pu me retenir d'éjaculer. » « Tu vois me disait-il, je ne suis pas le seul a aimer te voir faire l'amour avec d'autres. Tu les fais jouir, rien qu'en narrant tes exploits érotiques. Et moi, j'adore que tu fasses éjaculer les hommes ! » Il était vraiment aux anges en me lisant ces commentaires. Je prenais un certain plaisir en satisfaisant à ses caprices, et tout allait pour le mieux... Il désirait par exemple, que lors de mes déplacements en ville, sous ma robe ou mon chemisier et ma jupe, je ne porte aucun sous-vêtement, si ce n’étaient les bas et le porte-jarretelles. C'est pour aguicher les hommes, prétextait-il... car on ne sait jamais... Je pouvais avoir nombre d'expériences sexuelles, à condition de les lui relater avec force de détails en rentrant, et que bien sûr, j'en fasse profiter les lecteurs de « Histoire de sexe ». Il venait de s'offrir le dernier modèle de téléviseur, un écran incurvé de 88'' UHD/4 mesurant 110 cm de haut sur 190 cm de large. En plus, il avait fait équiper chaque pièce de la maison d'une caméra qui ...
... lorsqu'il la sélectionnait, retransmettait les images sur son nouveau jouet. Il en avait même fait installer deux dans ma chambre. Il pouvait visionner et ne rien rater des ébats que je pouvais avoir avec Victor, à qui il avait fait tourner plusieurs clips vraiment porno, avec sa ''petite Trixie''. Il lui avait aussi demandé de filmer mes ébats avec le vieux fermier et son fils, le gynéco noir au sexe monstrueux et bien d'autres encore et il les faisait visionner avec fierté à ses amis intimes. Ce jour-là, je revenais de faire des courses en ville, j'étais habillée selon le désir d'Alfred. Je n'avais ni soutien gorge ni string, simplement mes bas et mon porte-jarretelles, j'avais enfilé une robe blanche avec des bretelles assez lâches qui la soutenait sur mes épaules, en me penchant elle baillait et laissait plus qu'entrevoir mes seins. Assez courte, attachée à ma taille par une fine ceinture blanche, elle plaquait assez sur mes cuisses pour laisser deviner les fermoirs des lanières du porte-jarretelles. Tout d'un coup, je sentis la direction de la voiture flotter légèrement... La poisse, j'avais dû crever, un des deux pneus de devant devait être à plat. Je me garais et descendais. La rue était complètement vide, aucune circulation, les maisons avaient l'air fermées, les gens devaient être au boulot. Je m’aperçus que j'avais oublié mon téléphone portable, décidément, c'était le jour ! Je parcouru une cinquantaine de mètres, miracle un gros 4x4 était garé dans l'allée ...