Une crevaison providentielle - Histoires de Sexe

Une crevaison providentielle

... autour de ma taille, je me dégageais et la laissais choir sur le sol. Puis je m'assis sur le lit à côté d'Idrissa, et reculais un peu mes fesses sur la couche, écartais les jambes, posais mes talons aiguilles au bord du matelas, me penchais en arrière et m'appuyais sur les coudes.

Sa bouche s'empara aussitôt de mes tétons gorgés de sang, il les suçait et me mordillait les orifices des canaux galactophores, je gémissais de plaisir. Je les pressais pour rendre encore plus turgescents mes petits pics bruns. Cette douce stimulation faisait grimper mon taux d'ocytocine et lubrifiait abondamment les deux longs doigts noirs d'Amosa qui me fouillait profondément la chatte.

Je masturbais doucement le gros rouleau noir d'Idrissa, pris son gland dans ma bouche et avalais par petites touches le phallus tendu. Il était bien moins long que celui de Victor, mes lèvres réussirent à atteindre son pubis ou s'étalait une toison bouclée de poils ras. Puis, je remontais et descendais rapidement ma bouche le long du petit gourdin noir, tirant des cris de contentement à son propriétaire.

Son frère avait remplacé ses doigts par sa langue, qui telle un serpent se faufilait entre mes lèvres moites, elle titillait mon clitoris et ça venait l'aspirer me faisant hurler de plaisir.

Je passais ma jambe droite par-dessus sa tête crépue, Idrissa s'allongea sur le lit le sexe tendu vers le plafond, attendant que ma bouche l'engloutisse à nouveau.

Je me mis à genoux présentant mes fesses à ...

... Amosa, ses mains se glissèrent sous les lanières de mon porte-jarretelles, je sentis le bout de sa langue tourner plusieurs fois lentement autour de mon anus, puis elle entra dans l'orifice, et sa bouche se mit à faire des allers et retours entre ma chatte et mon petit trou intime.

« Hé, tourne-toi, regarde ma grosse bite, elle réclame ta bouche... »

Je lui donnais satisfaction, et commençais une savante fellation, j'étais toujours à genoux, Idrissa m'avait écarté les jambes, sa bouche avait remplacé celle de son frère, et maintenant, c'était quatre de ses doigts qui glissaient dans mon vagin trempé. Ils ne tardèrent pas a être remplacés par sa bite dure comme du bois. Au début, il l'enfonçait entièrement, la ressortait complètement et d'une seule poussée elle s'engloutissait jusqu'à ses couilles qui venaient battre mes fesses. Puis il se mit à genoux et accéléra sa cadence de pénétration, me tirant des halètements de plaisir étouffes par la grosseur de la queue de son frère qui envahissait ma bouche.

« Laisse-moi la place lui dit celui-ci »

Il se coucha sur le dos, faisant face à Alfred, je me positionnais à l'aplomb de la stalactite noire qui s'érigeait vers le plafond et la tenant d'une main à la base je la dirigeais vers mon anus et m'y empalais en regardant mon patron d'un air gourmand. Il était aux anges, il souriait d'un air comblé, se masturbant doucement.

«Veux-tu que je te suce la queue Alfred ?

- Non ma chérie pas pour l'instant... Je crois que Idrissa ...