Ma femme est peut-être forte mais c'est une bombe (6)
Datte: 10/08/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: caribonex, Source: Xstory
... cette complicité qui se forge toujours plus entre nous.
Ses mains se crispent sur le haut de ses cuisses, sa bouche s’ouvre et elle halète un peu, je dois avoir le même air d’ailleurs... La tension monte peu à peu et mes mouvements sont maintenant plus forts, des soupirs s’échappent, des gémissements, quelques mots qui ne peuvent plus être retenus.
— Oh c’est bon devant toi.
— Continue, ça m’excite comme une folle.
— Mate bien, je me branle pour toi, devant toi.
— Hmm mon salaud tu me fais mouiller...
Je me caresse de plus en plus vite, ne pouvant m’en empêcher, ayant perdu toute notion du temps, focalisé sur mon, sur nos plaisirs
— Oh ça monte.
— Vas-y, vas-y branle-toi bien.
— Putain c’est booon.
— Lâche-toi, crache ton foutre.
— Tu vas l’avoir petite salope.
Je vous l’ai dit, on se lâche, on est de plus en plus excités
Elle se tire les pointes des seins, fort comme elle aime, nous sommes sans pudeur, offerts à l’autre.
— Allez jouis, jouis mon chéri.
— Aaah prends tout !
J’explose de tout mon corps, liane tendue qui se rompt, jouissant sur ses jambes gainées et ...
... serrées l’une contre l’autre, comme un plateau à offrande pour ma semence.
Un, deux ; trois jets puissants viennent maculer ses bas, un dernier jet frappe ses jambes et finit sur le sol pendant qu’elle crie un oui triomphal et que je titube de plaisir, chêne qui s’écroule devant elle.
Je m’effondre, à moitié assis et on s’embrasse férocement quelques secondes.
Comme je mets fin au baiser, elle me regarde d’un air interrogateur, la bouche encore entrouverte et je lui dis.
— Comme tu es belle. Si sexy, puis je regarde le sperme qui orne sa lingerie dans des motifs mystérieux et rajoute.
— Ce serait dommage de gâcher tout cela non ?
Un sourire, un "comme tu me connais déjà si bien " et elle va cueillir le sperme du bout des doigts, avant de porter sa récolte dans sa bouche avec un regard qui m’électrise tout le corps.
Me fixant tout ce temps, elle tire la langue, se pourlèche longuement les doigts couverts de filaments blancs qui ont cherché les derniers résidus de semence et, enfin, avale le tout d’un air extatique et pervers en lâchant :
— Oh bon sang comme j’adore ton foutre...
A suivre.