Ma femme est peut-être forte mais c'est une bombe (6)
Datte: 10/08/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: caribonex, Source: Xstory
... baser sur la scène ou l’héroïne, nue en dehors de ses bas observe son futur amant se caresser devant elle.
Quand elle fait coulisser une des larges portes, j’ai un léger choc, car presque tout l’espace ainsi dégagé contient uniquement de la lingerie. Je ne peux retenir un " waouh " admiratif suivi d’un :
— Voilà qui ouvre de superbes perspectives ma chérie.
— Ravie de voir que cela te plaît.
Je m’approche d’elle, regardant les bodys et corsets accrochés à leur cintre, touchant la soie arachnéenne, les tissus de tulle, les dentelles ajourées, les doux velours...
Dessous les soutien-gorge opaques et transparents, colorés ou unis et plus bas les culottes assorties.
Elle ouvre un tiroir et c’est une profusion de bas fumés, sombres, opaques, à motifs ou en résille.
Un véritable fantasme masculin, un festival de carmins, de vieux rose, de noir, de rouge, de bleus sombres ou pastels
— Rentre ta langue, pendant que je choisis vil obsédé.
— Tu es une bombe ma chérie. Mes rêves s’exaucent en voyant cela et surtout en te voyant dedans au fur et à mesure.
— J’adore la lingerie, me toucher en étant revêtue d’atours, me rend toute chose. Oh, pardon, je te fais bander mon chéri ?
— Et c’est moi l’obsédé.
Nous échangeons encore un baiser torride et je m’écarte pour la laisser revêtir des bas.
Elle minaude, en prend en main puis les repose, jouant visiblement avec mes nerfs, puisqu’évidemment, elle bouge, se tend, s’exhibe et me fait atteindre les ...
... limites de la tension physique de mon sexe.
Enfin, elle semble choisir et s’asseyant sur le lit (loin de moi) revêt avec une lenteur calculée ses bas. Fumés, avec une simple ligne noire qui court tout le long de l’arrière de la jambe et la galbe encore un peu plus. Puis, elle s’assied, fesses nues sur le lit, les jambes à demi écartées me laissant voir sa fine toison si sexy et le début d’une fente déjà brillante, elle me dit.
— Viens te branler chéri.
Je m’approche d’elle, dur et tendu, juste hors de portée de ses mains et, à mon tour, la laisse me regarder tout son soûl. Les seins fermes, la langue qui se pourlèche les lèvres, les mains proches de son entrejambe, elle ne peut (et ne veut pas) cacher son envie.
Lentement, doucement, je passe le bout de mon index sur mon sexe, effleurant le gland, glissant tout le long de la colonne de chair, empoignant mes bourses gonflées durant plusieurs minutes, puis, rajoutant un doigt, je forme un large O et coulisse lentement de bas en haut en la fixant intensément...
Elle s’est un peu penchée en arrière, les deux bras la soutenant ce qui met encore plus en valeur ses deux superbes seins aux pointes érigées. Incarnation de la sensualité, du désir.
J’empoigne un peu plus ma queue et me branle doucement, si proche et si loin d’elle à la fois.
Ses cuisses s’écartent un peu plus d’un mouvement totalement inconscient tant elle est fixée sur mes gestes. Nous ne parlons pas, tant cela nuirait à l’échange de regards entre nous, ...