La Reine déchue d'Égypte.
Datte: 10/08/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Chlooe84, Source: Hds
... dans la ville, plus compacte que jamais. Les gens sont déchaînés, ils hurlent.
Je comprends alors que de mon peuple j’étais haïe. Ce n’est que la peur qui le tenait docile. Aujourd’hui la peur a changé de camp.
On me fait défiler au milieu de la plèbe, nue, le corps luisant au soleil. Partout on m’insulte, on me crache dessus, on se moque de moi. Je suis humiliée. Le peuple a sa revanche.
La garde peine à contenir la foule, les bras se tendent vers moi, ils me touchent.
Je tombe, on me traîne dans la boue, je peine à me relever.
Cette humiliante marche s’étend sur plusieurs kilomètres. Nous arrivons finalement à une place au milieu de la ville, au centre de laquelle un piédestal est monté.
Mon ancienne favorite colle son visage au mien et me chuchote :
« Tu aimais la luxure, la luxure sera désormais ton seul royaume. »
Puis elle se tourne vers le peuple amassé tout autour de nous et lance d’un ton solennel :
« Peuple égyptien ! Cette femme t’a humilié. Cette femme t’a traîné dans la boue, elle t’a plié à ses caprices. Peuple égyptien, aujourd’hui tu as ta vengeance ! Aujourd’hui, la Reine est déchue. Elle t’appartient. »
Un soldat de mon ancienne garde personnelle me positionne alors, les fesses en arrière, pendant qu’un autre commence à me fouetter.
La chef de la mutinerie reprend :
« Dès que cette chienne aura été fouettée, tu pourras prendre ce ...
... qui te revient, peuple égyptien. »
Les coups de fouet pleuvent, je hurle, je pleure, je supplie. La foule est en délire, à chaque hurlement de ma part, les cris de joie redoublent.
Lorsqu’enfin les coups cessent et qu’on me lâche, je tombe à genoux au sol. Mais le répit ne dure qu’un instant, car déjà les citoyens se sont jetés sur moi.
En un éclair, tous mes orifices sont remplis par des sexes bandés. Mon corps est malmené, giflé, pincé, palpé.
Dès qu’un sexe se dégorge en moi, que ce soit dans ma bouche, dans mon cul ou dans mon sexe, il se retire et laisse la place à un autre, tout aussi dur.
Chaque jouissance est acclamée par la foule et saluée d’un tonnerre d’insulte à mon égard.
Désormais plus rien ne se dresse entre la Reine de la Luxure et les pulsions sexuelles primaires de son peuple. La garde personnelle s’est joint au peuple, et la despote lubrique doit répondre de ses crimes.
Ce procès de débauche dure tout le jour. Après quoi, je suis contrainte de faire la marche de l’humiliation en sens inverse, couverte de semence, de sueur, et de crachat. Je tombe bien plus qu’à l’aller, et suis contrainte de faire une partie du chemin à genoux ou en rampant, sans même pouvoir m’aider de mes bras qui sont toujours liés.
Arrivée au palais, je suis lavée et préparée afin de devenir l’esclave personnelle de celle qui a pris ma place, je vous laisse deviner qui.