De la baise...
Datte: 09/08/2019,
Catégories:
fhhh,
fsoumise,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
attache,
boitenuit,
Auteur: Ellecoucou, Source: Revebebe
... serrant fort contre lui.
— Ce que tu es belle lui disait il encore et encore.
Elle sentit sa robe s’enrouler sur ses hanches, découvrant ses jambes et sa croupe. Les caresses sont devenues plus intimes, une main s’attardant entre ses cuisses, caressant sa vulve, partant à la découverte de son clitoris. Marie répondait à tous ces appels par des gestes d’offrande, relevant ses bras au-dessus de sa tête rejetée en arrière. Le buste pointant à l’avant pour être étreint, tripoté, câliné. Son corps ne lui appartenait plus. Elle se retrouva très rapidement nue.
Campée sur ses jambes, elle jouissait déjà, debout contre un corps qui la soutenait. Un autre qui lui léchait sa chatte, la fouillant de sa langue. Un homme, une femme ? Peu importait, elle n’était que jouissance. Ses seins étaient pétris à pleines mains, comme elle l’adore. Une bouche lui suçait son mamelon gauche, l’aspirant complètement. Ses cris, ses soupirs résonnaient sans fin entre les murs du château. Lentement elle reprit son souffle, enfin ils la laissaient s’apaiser.
Des mains la saisirent à la taille pour lui faire changer de place.
— Nous allons t’attacher à la croix de Saint-André. Ne crains rien ma puce.
Marie entendit le bruit d’un rideau qu’on tire. Comme une automate elle se laissa manipuler, écartant jambes et bras pour qu’ils soient sanglés. À son cou, elle sentit le froid du métal, certainement une chaîne ou un collier pour chienne. Ne l’était elle pas, ainsi ligotée, offerte au désir ...
... de chacun ? Sur ses fesses le léger frôlement d’un fouet la fit frissonner. Non, elle ne voulait pas souffrir, Marie n’aime que le plaisir, pas la douleur. Et pourtant les lanières réveillèrent en elle l’envie d’autre chose.
— Allons montre tes seins. Que quelqu’un lui place les pinces.
— Oh, que ça fait mal ! Doucement !
Ses tétons serrés aiguillonnaient son désir qu’elle ressentait sur toute sa peau.
— Ma salope tu veux encore jouir ? Tu veux être chienne ? Répond à ton maître ! Allez, répond ou je te frappe !
— Non, non, pas le fouet ! Oui, je veux ! Je suis à toi, ta salope, ta grosse salope comme tu aimes !
— Dis-moi ce que j’attends, tu sais ce que j’aime, dis-le moi salope !
— Tu veux mon cul, tu veux m’enculer, tu veux que tous m’enculent.
Le fouet frôlait son dos, suivait sa chute de reins, écartait sa raie, s’attendant chaque fois à de la douleur alors qu’il n’était que caresse. Marie frissonnait, des mains prenaient encore possession d’elle. Les mots crus fusaient des bouches des hommes présents.
— Alors chienne ! Donne tout, montre-nous ton cul ! Quelle belle cochonne tu fais !
Dans son dos un homme s’approcha, la prenant aux hanches, la pénétra et un grand moment la lima, son sexe entrant et sortant dans sa vulve. Marie aime un sexe dans son sexe, Marie veut être possédée, être prise, être secouée, lui arrachant des râles. Elle ne sait pas faire l’amour sans bruit, Marie !
Enfin, ils la détachèrent, la faisant mettre à genoux, en lordose, ...