Le plaisir à l'école
Datte: 09/08/2019,
Catégories:
f,
fh,
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école,
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fdomine,
contrainte,
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Auteur: Ellian, Source: Revebebe
... bête est épuisée, elle lâche ses dernières forces dans la bataille. Toute ma rage se projette dans ces derniers coups de reins. C’est fort, c’est là… Non, pas encore. Je ne peux plus, c’est fini. L’ultime, le baroud d’honneur. Je crie ; non, rien ne sort. L’onde quitte mon sexe et l’apaise, elle me parcourt le corps et lui redonne vie. Les douleurs dans mes cuisses contracturées, sur ma peau maltraitée se démasquent. Je m’écroule, la tête sur le dos de Sophie.
— Quelle énergie ! Maintenant, dehors. Et vite !
Je me retire de Sophie et attrape une queue pour libérer mon sexe de l’autre. Elle m’aide à me relever ; nous traçons vers la porte, nous soutenant l’une l’autre. En zone alliée, nous nous réfugions dans une cabine d’essayage des « première année ». Assises toutes les deux sur le mini-banc, nous restons un moment sans réussir à parler. Je me risque la première.
— Désolée…
— De ?
— Pour ce que j’ai dû te faire déjà.
— Tu rigoles ? J’ai pris mon pied quand tu m’as pénétrée. Par contre, après c’était un peu long. Pas désagréable, mais pas le nirvana non plus.
— J’aurais dû t’en dire plus sur la dernière fois.
— C’est Amaryllis qui t’avait captée ?
— Oui, je ne savais pas qui c’était.
— Elle a une sacrée répute. Tu sais que c’est la major de l’an dernier ?
— J’ignorais.
— Paraît qu’elle rêve de devenir prof ici, et qu’elle serait plutôt bien partie pour.
— Et l’autre, tu la connais ? Je ne l’avais jamais vue.
— Sans doute Violette. On m’a dit qu’elles ...
... jouaient très souvent toutes les deux depuis l’an dernier, si tu vois ce que je veux dire…
— J’ai comme l’impression qu’elles ne sont pas vraiment sur un pied d’égalité…
— Il faut bien qu’elle s’entraîne à jouer à la maîtresse :
« Violette ! Un thé au jasmin, et que ça saute ! ; »
« Oui, Maîtresse ; tout de suite, Maîtresse. Pourrais-je avoir une petite fessée ? » ;
« Diantre, ne vous ai-je point déjà déculottée ce matin ? »
Nous explosons en un fou-rire libérateur.
— Regarde ce que j’ai planqué.
Elle sort de dessous sa chemise défaite l’énorme gode rose.
— Tu as réussi à le choper avant de partir ?
— Quand je veux quelque chose…
— Mais sérieusement, il rentrera jamais nulle part.
— Si ; enfin, j’en sais rien. Probablement pas, non. Mais je vais le garder bien au chaud sous mon oreiller. Et rien que de le savoir là, je peux te dire que ça va me motiver !
— T’as un truc avec les gros machins, toi.
— Chacun ses petits plaisirs.
— Petits…
— Et merde ! Neuf heures moins cinq.
— On se magne !
Tant pis pour le p’tit-déj. Neuf heures, nous entrons en classe.
— Bonjour à toutes !
C’est la directrice, Sonia, en personne qui nous fait cours ce matin. Toujours impeccable. Jupe noire taille haute, s’arrêtant juste au-dessus des genoux. Bas et escarpins noirs. Chemise blanche très cintrée.
— Vous reconnaissez vos fidèles compagnons sur vos tables. J’espère que vous avez pensé à leur donner un petit nom. J’appelais le mien « Popaul », mais j’ai ...