Moi aussi, je suis cocu
Datte: 16/01/2018,
Catégories:
fh,
parking,
amour,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
confession,
couple,
Auteur: VincenLise, Source: Revebebe
... n’aime pas particulièrement goûter mon propre sperme mais je n’ai pas le choix. Elle m’écrase et j’ai bien du mal à respirer. Sa bouche m’engloutit avec frénésie. C’est trop bon. De mon côté j’essaie de jouer avec son clito mais elle bouge trop. Mon visage est mouillé de ma propre salive et de son mélange.
Ouf, je respire. Je suis libéré. Elle rampe, me chevauche et vient s’empaler sur mon vit. Elle est tellement ouverte et humide que je ne sens presque rien. Pendant un moment elle va-et-vient, plus par un mouvement du bassin que par une montée-descente.
Elle se soulève, tourne pour me faire face et se replace en cavalière. Une main posée sur le lit pour garder son équilibre, les pieds à plats, elle s’assied littéralement sur ma queue qu’elle guide de sa main libre. Son visage est le reflet de ses sensations. Les yeux fermés, concentrée avec un rictus de plaisir… Non, ce n’est pas du plaisir, mais de la douleur. Moi aussi je sens cette pression sur mon gland. Voilà il est entré. Le rictus disparaît.
Décidément, ce soir je vais de surprise en surprise. Elle s’encule, à sec. Enfin presque. Jamais cela n’est arrivé. Toujours elle demande que je la prépare avant de la sodomiser et jamais sans utiliser un lubrifiant. Cela fait longtemps que nous pratiquons. Cela fait longtemps qu’elle a découvert la jouissance par ce passage. Ce soir tout change.
Un souffle sort de ses lèvres pendant tout le temps qu’elle descend sur mon pieu. Finis les grands espaces. Ici tout ...
... est petit. La place est comptée. Les parois de son cul cherchent à étrangler l’envahisseur. Mais c’est cela qui est bon, pour elle comme pour moi.
Maintenant elle m’écrase, mes couilles sont pressées par ses fesses. J’essaie de pousser ma queue, par des coups de reins, pour gagner quelques millimètres. Elle prend cela pour un encouragement et commence à se baisser d’abord lentement, puis de plus en plus vite. Elle retombe si fort que c’est presque douloureux. Moi aussi, je veux devenir membre actif. Je la fais basculer, s’agenouiller au bord du lit et je reprends possession de son petit cul.
Cinq, dix, vingt minutes plus tard, je ne sais pas exactement, nous reprenons notre souffle. Mon cœur bat à cent à l’heure. Encore dans son cul, je suis allongé sur elle. Jamais, je dis bien jamais, je n’ai eu un orgasme aussi fort. Je ne peux pas parler au nom de Muriel, mais si chaque « oui », chaque « encore », chaque « je jouis », compte pour de l’argent, alors je suis millionnaire.
Quand je pense à cette nuit, je sais maintenant pourquoi ma femme était dans un tel état d’excitation. Pendant la soirée, elle a longuement parlé avec sa sœur et un homme. Je suis sûr qu’ils avaient prévu de s’éclipser pour baiser, mais sans le savoir, j’ai dû contrecarrer leurs plans. Et c’est ainsi que Muriel s’est retrouvée toute excitée, le feu au cul avec juste son mari pour éteindre l’incendie.
Ce que je comprends moins, c’est pourquoi sa soif de sexe a duré presque un mois. Remords ? ...