1. Bonus Malus (10)


    Datte: 09/03/2018, Catégories: Trash, Auteur: Severine45, Source: Xstory

    ... remarqué ?
    
    — Si, bien sûr et notre relation c’est d’ailleurs considérablement tendue durant cette période. Au début, je rentrais tard du travail, souvent fatiguée et peu disponible pour lui. Puis quand les choses sont devenues intenses, je continuais à rentrer tard et à rester au travail durant certains de mes jours de congés mais, par contre, j’étais en permanence affamée de sexe et le sollicitais de plus en plus. C’est finalement là qu’il s’est douté de quelque chose car je suis passée rapidement de la femme un peu coincée niveau cul à une nymphomane qui pouvait gober son sexe en entier dans sa bouche ou qui lui demandait à chaque rapport de la prendre par le cul, celui-ci étant d’une souplesse de plus en plus impressionnante ! Donc il pensait sérieusement que j’avais une aventure mais je ne pense pas qu’il imaginait à quel point je le trompais.
    
    — Et ce niveau d’infidélité ne vous dérangeait pas ?
    
    — Au début, bien-sûr que si. J’aimais mon mari et je m’en voulais terriblement de le trahir ainsi. Mais je ne voyais pas d’autres solutions et j’étais, comme je vous l’ai dit en début de témoignage, très carriériste. Je pensais donc pouvoir monter en grade rapidement, changer de collectivité et ne plus à avoir à faire ce que je faisais pour, enfin, reprendre une vie normale. Mais la situation a duré beaucoup plus longtemps que prévu, avec d’ailleurs l’accord tacite de mon président, j’y reviendrai, et je me suis prise au jeu. J’aimais de plus en plus me faire sauter par ...
    ... tous ces collègues et jouer les lesbiennes avec ma belle assistante. En fait, je crois que mon amour pour mon mari s’est progressivement éteint au fur et à mesure que mon amour pour le sexe, la soumission, la perversité augmentait. Durant les derniers mois, cela ne me dérangeait même plus de rentrer à la maison en venant juste de me faire tringler par 2 ou 3 mecs et en empestant le sperme. Quand je vous disais que je devenais une chienne, c’était aussi en termes de valeurs. Je n’en avais plus guère…
    
    — Vous disiez que vos agissements avaient reçu le soutien de votre président. Pouvez-vous nous en parler ?
    
    — Ne vous inquiétez pas, j’allais y venir ! Je vous disais donc que l’infidélité envers mon mari me posais de moins ne moins de problème et je m’abandonnais un peu plus chaque jour à la perversion, notamment en groupant de plus en plus mes « rendez-vous ». J’étais aussi de moins en moins regardante sur la quantité de bonus que la collectivité devait aux agents et ceci eux un effet inattendus : cela éveilla la curiosité de mes élus.
    
    En effet, auparavant, mes collègues devaient accumuler énormément de bonus pour pouvoir me baiser. Mais, avec le temps, je les laissais me faire à peu près tout ce qu’ils voulaient pour 3 fois rien. N’importe qui, pour quelque point bonus, pouvait donc m’enculer sans que cela ne me gêne. Par exemple, j’avais pris l’habitude d’accueillir les nouveaux agents, qu’ils soient CDD ou simple stagiaire par une pipe « gratuite » dans mon bureau pour ...