1. Bonus Malus (10)


    Datte: 09/03/2018, Catégories: Trash, Auteur: Severine45, Source: Xstory

    Suite :
    
    — D’accord, donc vos arrangements incluaient des partenaires multiples régulièrement…
    
    — Disons de temps en temps. En fait, comme pour le reste, ces « partouzes » se sont produites presque naturellement, sans avoir à se forcer, comme une suite logique des choses. Comme je vous l’ai dit, après mes deux premières visites d’ordre vraiment sexuel, j’étais baisée environ une fois par semaine puis le rythme est monté à 2 ou 3 fois lorsque j’ai commencé à y prendre vraiment goût et que je permettais à quiconque me plaisait de me sauter alors qu’il venait pour une pipe ou un strip-tease.
    
    On me baisait dans mon bureau en fin de soirée mais également dans le bureau de certaines collègues ou sur les chantiers. Par exemple, un jour, lors d’une visite dans une zone commerciale en travaux, je me suis fait prendre à la hussarde par un de mes ouvriers derrière une petite cabane en préfabriqué qui servait de vestiaires aux gars. Le mec m’a juste suivi alors que je voulais inspecter un coin des travaux, m’a annoncé la somme de bonus qu’il venait de transférer sur le compte de l’entreprise et a relevé ma minijupe. Je ne portais pas de culotte car j’étais également en train de répondre à une demande d’exhibition collective et il m’a donc limé vite fait, sans prononcer un mot contre cette cabane. Puis il s’est retiré et à jouis dans ma bouche, à ma demande car je ne voulais pas avoir du sperme qui me coule entre les jambes durant cette réunion où il y avait des élus. Donc, bref, ...
    ... je me faisais sauter partout et tout le temps.
    
    Le truc c’est qu’ils y avaient forcément des jours, au moins 3 ou 4 par mois, où je n’étais pas disposée à me servir de mon vagin. Mais les collègues que je recevais pendant ces périodes eux, ne voulaient rien savoir. Certains se contentaient de me baiser la bouche et de me recouvrir le visage de leur sperme mais ne donnait alors que moitié du bonus prévu. D’autres au contraire voulaient quoi qu’il en soit me baiser. Je leur offrais alors mon cul qui, durant parfois 4 jours d’affilée, se faisait copieusement défoncer par mes agents qui se donnaient le mot pour grouper leurs demandes durant cette période. Je savais donc qu’une fois par mois, j’allais me faire sodomiser à la chaîne. Mais du coup, je devenais une experte dans ce genre de pénétration et finalement y trouvait également on plaisir.
    
    Mes semaines étaient donc faites de strip-tease, d’exhibitions en public, de baises intenses et longues dans mon bureau, de petits coups vite fait dans un couloir, etc. J’avais de moins en moins de temps et d’envie pour travail, mon cerveau ne pensant qu’à la prochaine demande que j’allais recevoir et qu’il me tardait de satisfaire. Une fois, je devais travailler sur un dossier important mais je n’arrivais pas à me concentrer, trop en manque de sexe. Je me suis donc levée pour me promener dans les bureaux à la recherche d’amusement. Je suis allée voir mon comptable qui, lui, travaillait sérieusement sur le même dossier que moi, mais sur ...
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