1. Déchéance d'une belle-soeur...ou salope parisienne en devenir ! (1)


    Datte: 07/08/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... que ça la ferait mouiller à fond, ma salope de femme ! Elle adorerait ce genre de situation ! Baiser avec un autre mec, sous les yeux de son mari... traînée, va !
    
    — C’est vraiment ce que tu veux ? Attention, après il n’y a pas de retour en arrière !
    
    — Oui, vas-y baise-la, et je vous rejoins 5 minutes après, et je mate. Je veux que tu la souilles cette pute, que tu l’encules, que tu la traites comme une chienne, c’est tout ce qu’elle mérite... au moins tu me vengeras !
    
    — Je ne comprends pas, ce n’est pas le portrait que je me fais de ma belle-sœur. Toujours une conduite impeccable, jamais de folies... tu es sûr qu’elle réagirait en femme soumise par moi ?
    
    — Putain, 30 ans de mariage. Je sais bien que c’est toujours missionnaire avec elle. Pas de pipes, pas de sodomie, pas de variétés... avec moi. Mais là, depuis trois jours, je vois qu’elle a changé. Tu vois pas qu’elle se dandine comme une midinette, quand elle marche à côté de toi. Les regards de braise qu’elle te lance, quand tu lui parles culture. Je suis sûr que toi, tu peux tout lui faire... tout ce que moi j’ai jamais réussi ! Elle te refuserait rien... tu pourrais en faire la pute de mes rêves ! Tu es mon contraire exact. Plus jeune, sportif, beau, très cultivé, tu sais parler aux femmes. Toi, elle te respecte.
    
    — Je ne peux pas coucher avec ma belle-sœur comme ça ! Tu imagines ma femme après ?
    
    — Elle ne saura rien. L’autre salope ne lui dira rien. Elle tiendra trop à toi. Je te dis, tu en fais tout ...
    ... ce que tu veux ! Alors je veux que tu me venges. Tu vas en faire une dévergondée, une pute, une salope à bites... après peut-être que je pourrai l’utiliser aussi !”
    
    Sirotant mon cognac et fumant ma clope, je regardai le pauvre homme au bord des larmes et du désespoir. Si ça continuait comme ça, il était capable de faire une connerie. Sylvie l’avait dévirilisé depuis tant d’années. Et maintenant, elle lui donnait le coup de grâce. Un moment comme ça encore, et si elle était un peu plus entreprenante avec les hommes, le premier aventurier venu l’embarquerait. Tout compte fait, son plan n’était peut-être pas aussi con que cela. Il faisait “ la part du feu”. Au moins, il gardait la main sur les événements et il avait confiance en moi. Bon alors que faire. Rien, et ça partirait au désastre, moi une fois revenu chez moi. Le mari me donnait les "clés de la chatte de sa femme" !
    
    Après tout pourquoi pas ? Je n’avais rien à perdre. Si j’arrivais vraiment à en faire une salope pur jus, alors effectivement je pouvais la dresser, et la remettre entre les mains de son mari ensuite. Mais il fallait établir certaines règles.
    
    — Bon, écoute-moi bien. Tu veux que je baise ta femme et que je la transforme en putain. OK ! Par contre tu viendras pas pleurer après. Parce que si vraiment je la prends en main, elle va voir du pays ! Tu tiendras le choc ? Parce que tu verras tout !
    
    — Oui, je veux la voir se traîner dans la luxure !
    
    — Bon, j’en fais une “femme publique”, OK, je la dresse, ...
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