Déchéance d'une belle-soeur...ou salope parisienne en devenir ! (1)
Datte: 07/08/2019,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... rattrapait à moi quand elle trébuchait, se serrait contre moi dès qu’elle le pouvait, sa cuisse avait même effleuré “ un peu trop longtemps “ la mienne, au restaurant. Et toujours cette habitude épuisante de me porter aux nues et de dévaloriser son mari devant nous deux ! Le pauvre ne devait plus en pouvoir.
Bref, j’avais la gaule, j’avais l’envie effarante d’entrer dans la chambre contiguë à la mienne, et de la baiser là, dans le lit conjugal, à côté du mari. Vu son état d’épuisement nerveux, j’étais quasiment certain qu’il n’y trouverait rien à redire. De toute façon, c’était sa femme qui commandait pour tout !
Alors, ne trouvant vraiment pas le sommeil, je me levai et me dirigeai vers le salon dans la pénombre, mon but était le petit meuble qui contenait les alcools... un bon cognac et au dodo. Un mouvement dans un fauteuil me fit sursauter :
— Toi aussi, t’arrives pas à dormir ? Si tu veux un bon cognac, prends un verre en bas... on va trinquer ensemble. T’aurais pas du roulé ?
— Excuse-moi ! Oui j’en ai, mais ta femme va râler... et on trinque à quoi ?
— Ma femme, je lui pisse à la raie ; je mettrai la VMC à fond, j’ai trop envie d’une clope ! Et on trinque à mon désespoir sentimental... et à ma misère sexuelle ! “
J’étais extrêmement étonné par son comportement, en train de se saouler dans le noir, fumer une cigarette dans le salon de sa femme ! Me montrer son désespoir et avouer qu’il avait envie de baiser à en crever, signe qu’il ne faisait plus ...
... rien avec sa femme ... tout cela ne lui ressemblait pas ! Je décidai de creuser le sujet.
— Houlla, ça va pas toi ! Tu t’es disputé avec ta femme ?
— Non, mais j’ai commencé à la caresser, et elle m’a repoussé... comme toutes les autres fois depuis au moins un an, voire plus !
— Bon, bah, tu réessaieras demain.
— Que dalle ! C’est plus moi qu’elle veut cette salope... elle a toujours aimé les intellos. C’est ça qui la fait mouiller. Moi, elle me considère comme un gros nul !
— Mais non Raphaël, ne te mets pas martel en tête.
— Mais si, tu vois pas comme elle m’humilie devant toi ! Et en plus, t’as vu comment elle t’a ouvertement dragué, devant moi, son mari. Elle n’en a rien à foutre de moi. Tiens, je suis sûr que tu irais dans la chambre, tu la sautes tout de suite ! “
Cette conversation surréaliste commençait à m’exciter grandement... il y avait un coup à jouer, là !
— Mais non, tu exagères, tu es saoul, tu racontes n’importe quoi.
— Et bien, vas-y ! Vas-y, va te coucher dans son lit, tu la tripotes en disant que c’est toi, tu verras, à toi elle ouvrira les cuisses.”
Je commençais à bander sec, il était sérieux le type ? Il voulait que j’aille baiser sa femme ? Ça l’excitait ou quoi ? Un candauliste ?
— Bon, Raphaël, faut pas dire des choses comme ça. Tu te rends compte, tu me demandes d’aller baiser ta femme à ta place ! Et si je disais oui, tu ferais quoi ? Tu regarderais ?
— Au moins, je pourrais me branler en vous regardant ! Je suis sûr ...