À la rencontre des supportrices - Histoires de Sexe

À la rencontre des supportrices

... Anne-Marie et l’enlace en lui bécotant le cou :

— Mais c’est toi la reine de la fête ce soir ! Qui sait, peut-être que tu arriveras à me faire oublier la belle bite qui m’attend !
— Tu parles ! Gourmande comme tu es, il n’y a aucune chance, répond une Anne-Marie un peu boudeuse.
— Qui sait ? répond Carole tout en caressant la cuisse d’Anne-Marie et en faisant remonter sa main tout doucement.

Cette caresse ne semble pas laisser la métisse insensible ; celle-ci se tourne vers Carole, ses mains se posant sur son ventre.

— Tu sais ce qui me ferait le plus plaisir pour mon anniversaire ?
— J’ai ma petite idée, en effet, réplique Carole tandis que la main d’Anne-Marie glisse de son ventre vers ses jambes. En tout cas, si c’est ce à quoi je pense, je ne suis pas contre ce soir, ajoute-elle en roulant une pelle à son amie, qui reste un instant pétrifiée.

Anne-Marie semble tétanisée par ce baiser qu’elle attendait depuis si longtemps. Pendant quelques secondes les deux amies se regardent, immobiles. Pour ma part, je suis toujours assis dans le canapé et mon cœur s’est arrêté de battre. J’ai conscience que tout peut basculer dans les prochaines secondes. Il ne faut pas longtemps à Anne-Marie pour reprendre ses esprits et rendre son baiser à Carole, tout en glissant sa main sous la jupe de sa conquête.

En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, les jupes sont troussées, la culotte d’Anne-Marie a rejoint le sol et les seins jaillissent des chemisiers, vite happés ...

... par des bouches gourmandes. Comme je l’avais deviné, ceux d’Anne-Marie sont petits et ronds, et semblent résister à l’attraction terrestre.

Les deux femmes glissent vers le sol, au milieu des soupirs. Je n’ose pas bouger, de peur de rompre le charme. J’ai pourtant une érection énorme qui me fait mal, ma queue se sentant très à l’étroit dans mon pantalon. C’est tout juste si je respire quand tout à coup j’entends la voix d’Anne-Marie qui dit :

— Ça ne me dérange pas que tu restes à regarder, mais tu pourrais avoir la décence de ne pas rester habillé alors que nous sommes nues !

Il ne faut pas me le dire deux fois et mes habits rejoignent le sol en un instant. Lorsque je relève les yeux, j’ai un véritable show lesbien devant moi : Carole est sur le dos, les jambes écartées, et Anne-Marie, à quatre pattes, son gros derrière face à moi, semble la branler en lui bouffant la chatte. Son autre main caresse les seins de son amante. Cette dernière n’est pas en reste et caresse la tête et le dos de celle qui lui donne du plaisir, ce qui commence à s’entendre. Les soupirs et les gémissements de Carole prennent de l’ampleur jusqu’au moment où dans un cri rauque elle se cambre, n’ayant plus que la tête et les pieds qui touchent le sol. Anne-Marie relève la tête, la bouche luisante de mouille et vient l’embrasser tandis que Carole reprend son souffle et lui dit, probablement plus fort qu’elle ne le voulait :

— Je n’aurais jamais dû attendre aussi longtemps ! Quel pied ! Je ne ...