À la rencontre des supportrices
Datte: 07/08/2019,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
fbi,
fplusag,
jeunes,
couleurs,
inconnu,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
fsodo,
init,
Auteur: Douding, Source: Revebebe
... faciliter l’entrée. Pendant qu’elle se branle, je présente mon dard à son petit trou luisant de mouille, et pousse. Après une petite résistance de principe, son cul s’ouvre et me voilà introduit jusqu’à la garde. Elle lâche alors un petit cri et me souffle :
— Encule-moi. Défonce-moi. Mais garde-moi ton foutre, j’y prends goût.
Je lui obéis et la baise violemment, mes couilles tapant contre sa chatte tandis que je lui claque le cul de temps en temps. Malheureusement je ne pourrai pas lui faire tout le plaisir qu’elle souhaitait. Les allers-retours dans son conduit serré ont raison de moi et j’ai tout juste le temps de déculer et d’enlever ma capote pour lui éjaculer sur le dos tandis qu’elle jouit. Après une douche partagée, nous nous couchons. Cet amuse-gueule augure du meilleur pour le lendemain.
Nous nous réveillons tranquillement vers 9 h. Comme chaque matin j’ai une belle trique, et cela n’échappe pas à mon amante. D’autant que je me rapproche d’elle avec l’objectif évident de reprendre nos ébats, comme si la nuit n’avait pas existé.
— Bas les pattes ! Ce n’est pas que je n’en ai pas envie, dit-elle en caressant ma verge, mais aujourd’hui il faut que tu sois au top de ta forme pour Anne-Marie. En attendant, tu te la mets derrière l’oreille. Dommage, souffle-t-elle en déposant un baiser sur mon gland avant de se lever.
Je n’ai pas vraiment d’arguments à opposer à cela et n’ai plus qu’à attendre une accalmie du côté de mon bas-ventre.
— Tu veux un café ...
... ? me crie-t-elle depuis la cuisine.
— Ah oui, je ne peux pas décoller sans. Et si tu as un poulet à mettre sur une tartine, je ne suis pas contre. J’ai une énorme dalle ; ce que j’ai bouffé hier soir ne nourrit pas vraiment son homme…
— Toujours dans l’élégance ! Mais qu’est ce que je fous à traîner avec ces balourds de rugbymen ? Allez, viens, il y a de quoi remplir ta panse dans le frigo, ne t’inquiète pas, ajoute-t-elle dans un sourire.
Le reste de la journée s’étire tranquillement, sans rien faire. Il est prévu qu’Anne-Marie passe en fin d’après-midi pour se préparer avant de sortir. Carole a prévu de me présenter comme un ami de son frère, de passage en ville pour le week-end. Vers 18 h, celle que nous attendions arrive.
Il s’agit d’une petite métisse au look sage, avec une poitrine qui semble assez menue et un derrière au contraire assez imposant. Elle a un joli sourire et des yeux rieurs, mais devant moi reste très distante, au point de me serrer la main pour me saluer. Je profite d’un passage en cuisine pour aider Carole à préparer les amuse-gueules pour lui murmurer :
— Tu es sûre que c’est bien la chaudasse dont tu m’as parlé ? Ou alors c’est que je ne suis pas à son goût, mais elle est plutôt froide avec moi.
— Ne t’inquiète pas. Elle a l’air froid comme ça parce qu’elle est super timide. Mais tu vas voir le changement après deux ou trois verres…
En effet, une fois installés autour de l’apéro, l’ambiance se réchauffe peu à peu. Carole semble tout ...