Jet Set Inc - Histoires de Sexe

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... la hauteur des tétons dévoilés. Amusée et intriguée par ce qui est en train de se dérouler sous ses yeux et les miens, Carla arrête de me peloter. J’en profite pour m’approcher. Une fois de plus, ceci fait, le petit frère se plante à nouveau devant elle :

— Et ils sont cent pour cent naturels ?
— Oui, aucune opération, zéro silicone…
— Ah ? Étonnant !

Ayant repris de l’assurance, Émilie lui adresse un sourire ambigu :

— Si vous ne me croyez pas, touchez-les, vous verrez bien !

S’il y a bien une chose qu’il faut rarement répéter deux fois à un homme, c’est de toucher une femme avec son accord. Ne se faisant certainement pas prier deux fois, Hugo se fait un plaisir de palper les seins offerts. Néanmoins, je constate qu’il s’y prend d’une façon différente, comme s’il est en train de toucher une œuvre d’art, pour en dénicher les secrets. Et je pense que cette façon de procéder n’est pas passée inaperçue aux yeux d’Émilie. Je dirais même qu’elle est fière d’être traitée ainsi.

— Étonnant, vraiment… oui… murmure Hugo une fois qu’il en a fini.

Émilie en profite pour remonter sa robe-bustier afin de cacher ses seins. Le petit frère s’approche du visage de ma femme pour mieux l’examiner, le contempler. Émilie rougit un peu, mais se laisse toujours faire. Quelques instants plus tard, Hugo déclare à ma femme :

— Oui, étonnant. Je suppose que le reste de votre anatomie est pareil… Je me trompe ?
— Vous… vous voulez voir ou palper ?
— Les deux, bien sûr ! Mais ne ...

... perdons pas de temps.

Prestement, il se tourne vers son frère :

— Tu as eu raison d’insister. Je serais en effet passé à côté de quelque chose. Mais ne nous emballons pas.

Puis, comme s’il négociait un contrat, Hugo s’adresse à nous deux en même temps :

— Bon, je vous propose la chose suivante : j’embarque tout de suite Madame avec moi, et je la garde jusqu’à vendredi midi. Il y a une soirée privée ce soir, une soirée publique demain soir, et enfin une soirée chez moi, jeudi soir. Le matin, nous dormons et l’après-midi, Émilie posera pour moi, crayon, photo, moulage, etc.

Bousculée par ce programme, ma femme s’exclame :

— Là, tout de suite ?
— Oui, la soirée à Saint-Tropez a déjà commencé, il y a peu de temps, mais ce n’est pas grave d’arriver un peu plus tard, mais pas trop tard quand même.
— Et j’y vais habillée comme ça ?
— Hmm, c’est vrai que ça ne fait pas assez… assez comme il faut. On fera un détour par chez moi, j’ai de quoi vous habiller et de vous maquiller. Même votre mari ne vous reconnaîtra pas !
— Il ne peut pas venir, lui aussi ? Ce… ça me rassurerait…
— Pourquoi pas, mais de loin. Le deal est que ce soit moi qui vous sorte, telle ma nouvelle égérie.

Carla s’approche et propose :

— Hugo, et si j’accompagne Axel, ça devrait le faire, non ?

À ces mots, le visage d’Hugo s’illumine :

— Bien sûr, ça le fera sans problème, très bonne idée, ma petite Carla ! Tu as toujours de bonnes idées ! Eh bien, c’est décidé, on y va. Bien sûr, ...