Fin de lycée - Histoires de Sexe

Fin de lycée

... de moteur, des phares… presqu’assez de pièces détachées pour refaire une moto! 
-	Bon ton short, là, c’est pas mal, c’est même très mignon, mais je voudrais pas que tu te fasses mal…
-	T’as qu’à rouler doucement
-	Tiens, qu’est-ce que tu dis de ça?
Il sortit d’une sorte de vestiaire une salopette en cuir qui m’avait l’air bien petite mais assez belle
-	Tu veux pas mettre ça? Si on tombe, tu seras bien protégé
-	Montre… Ouais, ça à l’air pas mal
-	Change-toi là-bas, sur le tapis, il est à peu près propre.
Je commençai à déboutonner ma salopette short sur un côté, et il s’empressa de faire de même de l’autre côté. Je le laissai faire, il y avait quelque chose de sensuel. A nouveau, il glissa une main sur mes fesses, je sentis son majeur insister sur ma raie. Je tressaillis. Il détacha mes bretelles et fit tomber la salopette short. Il s’exclama en voyant que je portais un body en dessous, ce fameux polo body
-	Oh, mignon, la totale
-	T’aimes bien?
Pour toute réponse, il me prit dans ses bras un peu brusquement et posa ses lèvres sur les miennes, forçant le passage de sa langue. Je me laissai faire. Sa main baladeuse passa sous le body et il me pénétra de deux ou trois doigts. Avec ce qui m’était arrivé plus tôt, ils entrèrent tout seul. 
-	Viens par là…
Le garage était relié à la maison, et on est arrivé dans sa chambre, à l’étage. Elle était impeccable, parfaitement rangée, ça ne collait pas avec l’image de mécano dernier de la classe qu’il donnait. Il y avait ...

... un grand lit fait au carré, un grand bureau sans le moindre papier qui traîne, pas du tout une chambre d’ado. A se demander si quelqu’un y habitait vraiment
-	C’est ta chambre?
-	Ouais, ah ça! Tu veux voir mes jouets?
-	Mouais…
Il ouvrit le placard, et dans un tiroir il y avait des trucs qui brillaient. Il fouilla un peu et dit
-	ça…
-	c’est quoi?
-	c’est pour tout à l’heure.
Il posa l’objet sur la table de chevet et me prit dans ses bras. Quelle force! Je sentais de la puissance et du contrôle, de la retenue prête à se libérer. Il me posa sur le lit comme j’aurais posé un petit coussin. Il retira son pantalon et ça laissait voir une grosse bosse dans son caleçon. Il retira le caleçon et là je pris peur.
-	Je sais ce que tu penses, n’aies pas peur
-	…mais… mais c’est énorme
-	Non, je t’assure, peut-être un peu au dessus de la moyenne, mais rien d’extraordinaire
-	… mais ça ne pourra jamais…
-	Ne t’inquiète pas, laisse-moi faire
Je commençais à en avoir marre de tous ces gens qui pensent pour moi, qui veulent que je m’inquiète pas
-	Ferme les yeux, retourne-toi
Il me mit une grosse quantité de gel, et j’ai trouvé cela excitant. Je sentais le mécanicien en train de chérir les pièces du moteur, les cylindres ou je ne sais quoi… En un bond, il se trouva derrière moi, sur le lit, et commença à me pénétrer. Je ne sais pas comment il s’y est pris, mais ça ne m’a pas fait mal du tout. En tous cas, il a mis le temps. Il allait très doucement, une progression par touts ...