Fin de lycée
Datte: 18/03/2024,
Catégories:
Gay
Vos histoires
Auteur: Ungarees, Source: Histoires-de-Sexe.club
... que ce soit pour fille
- Les docs aussi c’est pour les hommes
- … blanches?
- Écoute, on s’est donné beaucoup de mal pour toi, t’as vu tout ce qu’on a fait? Est-ce que tu regrettes? Non! alors? Maintenant, on va essayer de te trouver une amoureuse
- …habillé comme ça?
- Si si, tu verras, je te promets que ça va marcher. Tu seras surpris. De toute façon, t’as pas grand-chose à perdre, vues tes nombreuses conquêtes! Ha! Ha! Ha! Allez, on se prend un verre et on y va.
Ça c’était aussi méchant que vrai. J’ai pris un grand whisky-coca, j’ai pris mon courage, et on est parti. Je regardais droit devant moi, et je marchais assez vite et à grands pas. Je les entendais tous les deux marcher derrière moi, ils chuchotaient quelque chose. J’évitais le regard des passants. Je ne voulais croiser le regard de personne, ne reconnaître personne. En arrivant en vue du Balto, je me figeai net. Qu’est-ce que je suis en train de faire? Je suis fou! Je suis en train de détruire ma vie! Tout le lycée va savoir! Demi-tour!
Ils m’attrapèrent un par chaque bras et pleins de leur entrain on entra au Balto. Ils commandèrent tout de suite deux bières et un diabolo fraise. De toute façon, je ne voulais plus boire d’alcool. Mais le diabolo fraise avec ma salopette bleue, ça donnait un tableau coloré genre manga.
Il y avait cinq ou six autres élèves du lycée, dont deux filles assez jolies et un peu délurées. J’avais l’impression que tout le monde me regardait et j’évitais leurs yeux. Je ...
... regardais dans le vide.
- Allez, y a personne, on se fait un billard. Ça vous va?
J’avais pas spécialement envie de jouer, mais il fallait que je fasse quelque chose qui me ferait oublier mon accoutrement. J’acceptai.
On a commencé à jouer tous les trois, et les autres nous regardaient. J’évitais les regards, mais je voyais bien que c’était moi qu’on regardait. Un truc typique du billard, c’est que parfois, pour jouer un coup, on doit se mettre dans une position déhanchée ou cambré, et pour moi, c’est encore accentué parce que je suis petit.
A un moment, j’étais presque allongé sur le billard, mais avec un pied qui touchait le sol, comme il se doit, et un genou sur la margelle, ce qui mettait mes fesses bien cambrées, et pour tout dire, tendait encore plus la toile de ma salopette qui me rentrait à mort dans les fesses.
C’est le moment que choisit un redoublant de terminale pour s’approcher et poser sa main sur ma hanche, choses tout à fait interdite au billard : on ne touche pas quelqu’un en train de jouer.
Je tournai la tête, et d’un air irrité :
- Tu vois pas que je suis en train de jouer??
- Hoho, t’énerve pas ma jolie… pardon
- Écarte-toi
- Tiens, c’est pour toi… tu me pardonnes?
De son autre main il me tendait un diabolo fraise. Encore un. Il m’avait dit « ma jolie », alors qu’il sait parfaitement qui je suis. Je le savais, venir là habillé comme ça, c’était sûr, ça allait attirer plus les mecs que les nanas.
A ce moment-là, on a entendu un grand bruit qui ...