1. La bourgeoise et le marabout (3)


    Datte: 06/08/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... djellaba se froisser et je devine qu’il est en train de la remonter ou de la retirer. Il s’avance un peu plus contre moi et je sursaute un peu lorsque le gland de son sexe commence à se frotter à ma vulve sans qu’il ait besoin de retirer mon string. « Ne pensez à rien », me dit-il « Laissez vous aller en vous concentrant sur ce que vous ressentez en vous ». Je ne peux rien lui répondre et le voilà qui se colle encore plus près de moi. Son sexe m’ouvre littéralement mais j’aime cette sensation d’être écartelée par cette énorme queue. Bien vite, j’accorde les mouvements de mon bas-ventre à ses coups de boutoir et me donne entièrement à lui. Il en profite, se retire entièrement pour mieux replonger au fond de moi, sa bouche me mordille les seins, dévore la mienne. Sa langue se mêle à la mienne tandis qu’il accélère la cadence. Soudain, il se répand en moi en longues et puissantes saccades et reste tout au fond de moi jusqu’à ce qu’il ait débandé. Sans un mot, il reboutonne mon chemisier, m’essuie la chatte à l’aide d’un mouchoir, remet en place ma jupe et m’aide à me relever avant de retirer mon bandeau.
    
    Une fois assise en face de lui, il note quelques mots dans un calepin puis me dit « C’est parfait, vous réagissez parfaitement bien à ce nouveau test. Je vous demande de porter ces dessous jusqu’à ce soir et de voir la réaction de votre mari. Nous en reparlerons dans trois semaines lors de votre prochaine consultation. Je vous donne par ailleurs un nouveau petit mot pour ...
    ... mon ami monsieur Robert que vous passerez voir, comme aujourd’hui, avant de venir à votre consultation ». Je le remercie et le quitte non sans qu’il m’ait donné l’enveloppe et un nouveau flacon de médicament.
    
    Le soir, je fais exprès de traîner dans notre appartement jusqu’à ce que mon mari soit au lit en train de lire. Ostensiblement, je commence à retirer mon tailleur en lui tournant le dos. Je vois dans le miroir de l’armoire qu’il me regarde et, lorsque je me retourne face à lui, ses yeux fixent successivement mes seins et ma chatte. « J’avais envie de te surprendre » lui dis-je. « J’adore » me répond-il tandis que je m’allonge ainsi près de lui et caresse son sexe qui grossit rapidement sous mes caresses. Il vient sur moi et me dis « Tu es une superbe bourgeoise et tes dessous de petite salope te vont à ravir. » Ces mots un peu crus dans sa bouche me surprennent un peu mais je n’ai pas le temps d’y réfléchir car, comme mon marabout, il glisse sa queue par la fente du string, glisse ses mains sous mes fesses et me dévore les seins en me pilonnant avec vigueur. « Tu es déjà toute trempée et bien ouverte » reprend-il, « Tu as dû avoir envie de moi toute la journée ». Sans la moindre hésitation, je lui réponds « Oui chéri, j’ai acheté ces dessous en pensant à toi. Tu sembles apprécier ! ». Redoublant d’assaut, il poursuit « Quel homme n’apprécierait pas de voir sa femme ainsi ? » Sa bestialité m’excite et je jouis tandis qu’il se vide en moi mêlant son sperme au précieux ...